Chaque année, toujours dans les premières semaines d’avril, en même temps que le temps des sucres et les autres balbutiements du printemps, Le Festival Vues sur mer accueille avec excitation les cinéphiles. Une tradition maintenant bien ancrée durant laquelle le cinéma documentaire bourgeonne. Fondé en 2011, Vues sur mer, l’un des rares festivals à se consacrer exclusivement au documentaire, s’est bâti la réputation d’être intime, chaleureux et accueillant. Il permet chaque année de mettre en lumière des documentaires d’ici et d’ailleurs, de saluer le travail de cinéastes de la première heure, en plus de faire rayonner des documentaristes de la relève et de la Gaspésie, le tout dans un esprit de collégialité et de proximité entre les spectatrices et spectateurs et les cinéastes. La 16e édition du Festival Vues sur mer se tiendra du 9 au 12 avril 2026 à Gaspé.
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Amazonie, à la rencontre des gardiens et des gardiennes de la forêt
Nouveauté !Dans un style hybride où s’entrecroisent l’essai politique et le _road movie_, ce documentaire de Santiago Bertolino nous entraîne au cœur de la réalité amazonienne. En suivant Marie-Josée Béliveau, écologiste et ethnogéographe, ils remontent ensemble les 4000 km qui séparent l’embouchure du fleuve Amazone au Brésil à l’une de ses sources en Équateur pour aller à la rencontre des gardiens et de...
_Marée noire_ est un cri de l’espèce, un sursaut de survivance face aux éléments; un dernier souffle de vie avant d’être balayée par la Terre ou peut-être à l’inverse un combat à mener contre vents et marées pour s’y accrocher avant l’extinction.
Au Mexique, sous les cendres et la poussière, le paysage s’efface. On dépèce, on entaille, on brûle. Derrière des frontières de barbelés, les forêts, les fleuves et la montagne tombent aux mains d’entreprises privées. Ici, les nouveaux maîtres et leurs mercenaires imposent le silence et la terreur. Roberto de la Rosa, tout comme d’autres paysans aux quatre coins du pays, emprunte maintenant des...
Inspiré par l’amitié et le travail des pêcheurs, Zack Greenleaf chante la culture mig'maque et son village, Gesgapegiag, « là où le fleuve s’élargit ».
Dans l'intimité des montagnes du parc national de la Gaspésie vit un groupe de résistants. En 1534, lorsque les premiers Européens débarquèrent sur ces terres, ils étaient des dizaines de milliers. En 2013, ils n'étaient plus qu'une centaine. Ce sont les derniers survivants. Ce documentaire raconte l'histoire de cette dernière harde; l'ultime combat des caribous de la Gaspésie pour leur survie.
Privilégiant une approche de cinéma-vérité, la cinéaste Heather Condo documente en toute simplicité l’art du tissage de paniers en côtes de frêne noir, une tradition transmise de génération en génération. Sans voix off ni dialogue, le film met l’accent sur le travail du conjoint de la réalisatrice, Stephen Jerome, sur son talent et sur le souci du détail associé à la fabrication de ces paniers....
À travers les regards croisés du photographe Marius Jomphe, de quatre historiens gaspésiens et de quelques échoués contemporains, _Le pays des naufrages_ dresse un portrait historique et poétique de Gaspé, cette ville « du bout du monde » qui préserve son essence à travers les époques; la mer y est toujours un vertige, la nature encore un mystère et le naufrage un mode de peuplement.
_Le commun des mortels_, c’est le récit de la vie en marge des événements qui est notre lot à tous. Une vie de débrouille, de symboles, de foi, de sueur… Comment Éverard Leblanc, un homme simple, s’est-il « débrouillé » pour traverser ce siècle? Un narrateur nous raconte : du Canada français au Québec, de la ruralité cantonnée à la modernité éclatée, du catholicisme véhément au vidage des églis...
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_Marée noire_ est un cri de l’espèce, un sursaut de survivance face aux éléments; un dernier souffle de vie avant d’être balayée par la Terre ou peut-être à l’inverse un combat à mener contre vents et marées pour s’y accrocher avant l’extinction.
Au Mexique, sous les cendres et la poussière, le paysage s’efface. On dépèce, on entaille, on brûle. Derrière des frontières de barbelés, les forêts, les fleuves et la montagne tombent aux mains d’entreprises privées. Ici, les nouveaux maîtres et leurs mercenaires imposent le silence et la terreur. Roberto de la Rosa, tout comme d’autres paysans aux quatre coins du pays, emprunte maintenant des...
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