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Une balade sans fin d’un taxi à l’autre dans le Lima des années 1990. Tant de monde, si peu de moyens de gagner sa vie dans ce pays en crise; chacun·e tente sa chance avec son auto au bord de l’effondrement. La vie entière est là, résumée et enchantée.
Noriko Oi, une Canadienne d'origine japonaise vivant à Montréal depuis plus de 20 ans, s'apprête à retourner à Nagasaki, sa ville natale, pour aider ses frères et sœurs à vider la maison familiale qui sera bientôt vendue. Entre les murs de cette vieille maison se trouvent les fragments de l'histoire de la famille Oi. Noriko décide de reconstituer le passé de sa mère, Mitsuko, survivante de la b...
Au sein de la troupe, la vague de départs amorcée du temps de _As-tu vu? Les maisons s’emportent!_ se poursuit, et les routes se séparent. Militer est un travail qui ne finit jamais : parfois, ça épuise. En 2006, 30 ans après le discours du 8 mars 1976 qui clôt le premier épisode de _Nous sortirons de nos cuisines_, les Québécoises gagnent leur bataille pour la gratuité de l’avortement : doréna...
Nous sortirons de nos cuisines - Épisode 3 - As-tu vu? Les maisons s’emportent! (1979-81)
Nouveauté !La première de _As-tu vu? Les maisons s’emportent!_ a lieu 10 jours avant le premier référendum sur la souveraineté du Québec. Un vent de conservatisme souffle sur l’Occident : les politiques de privatisation profitent à ceux qui ont déjà tout, et on assiste au démantèlement progressif de l’État et du bien commun. Carole Fréchette propose : « Et si on faisait un spectacle? Mais cette fois, on d...
Les voix des amis nord-africains de Jamal, emprisonnés dans les centres de détention, arrivent des montagnes autour de la métropole d’Athènes. Lui, confiné dans une petite pièce au huitième étage d’un immeuble à moitié abandonné, cherche les mots qui résoudraient le labyrinthe de la vie et de l’existence.
Le stade Maracanã brille de mille feux. Nous sommes en 2016, et toutes les caméras sont braquées sur l’inauguration des Jeux olympiques de Rio de Janeiro. À quelques rues de là, c’est un tout autre monde. Assis sur un toit, des gamins regardent de loin les feux d’artifice. Nous sommes dans un bâtiment fédéral en ruine, sous le joug des trafiquants. Là vivent une centaine de familles miséreuses,...
Les homards se voient pas _as_ rouge, c'est nous qui les _boil alive_.
En 1982, la maison familiale de Jocelyne Saab, vieille de 150 ans, est la proie des flammes. En collaboration avec le dramaturge libanais Roger Assaf, elle entreprend de sillonner sa ville, assiégée par les Israéliens, et de témoigner de la situation à Beyrouth, du départ des Palestiniens et de l'incompréhension des civils qui souffrent de la guerre.
Portrait de Raymond Eddé, en lice pour les élections présidentielles libanaises, et grand opposant à la guerre confessionnelle. Durant les conflits de 1975-1976, il a recherché activement, avec son équipe, les disparus de guerre, qu’ils soient chrétiens, druzes ou musulmans.
La cinéaste Jocelyne Saab donne la parole aux femmes palestiniennes, victimes souvent oubliées du conflit israélo-palestinien.
Nous sortirons de nos cuisines - Épisode 2 - Môman travaille pas, a trop d’ouvrage! (1974-75)
Durée : 1h01L’ONU déclare 1975 l'« Année internationale de la femme », ironiquement enfermée dans son singulier. C’est une époque charnière : de plus en plus de femmes divorcent ou font leur entrée sur le marché du travail. Or, une grossesse suffit pour justifier un congédiement, et les congés de maternité n’existeront pas avant 1979. Les membres du Théâtre des Cuisines remontent sur scène avec _Môman trav...
Nous sortirons de nos cuisines - Épisode 1 - Nous aurons les enfants que nous voulons (1968-74)
Durée : 1h02Montréal, 1973. La loi canadienne autorise désormais l’avortement. Mais les critères sont très restrictifs et les femmes dépendent du bon – ou plus souvent, du mauvais – vouloir des hommes siégeant sur les comités qui les permettent ou les refusent. Le Québec est la province où il est le plus difficile d’interrompre une grossesse non désirée, et les avortements clandestins sont fréquents : ils ...
Les discours marketing des années 1940 à 1970 laissaient croire que l’émancipation des femmes au cours du 20e siècle aurait été rendue possible grâce aux nouvelles technologies facilitant l'exécution des tâches ménagères. Par le remploi de films publicitaires et d’archives télévisuelles, cet essai rétrofuturiste féministe interroge ce discours capitaliste pour examiner la relation des femmes au...
La réalisatrice Medhin Tewolde Serrano a environ sept ans lorsque, pour la première fois, elle entend quelqu'un dans la rue lui crier « negra ». Ce jour-là, elle découvre qu’elle est noire — et les rires autour d’elle lui font rapidement comprendre que ce n’est sans doute pas une bonne chose… À travers les récits de cinq femmes d’ascendance africaine vivant au Mexique, _Negra_ explore ce que si...
À l’époque coloniale, Gaspar Yanga a été enlevé sur les côtes africaines, emmené au Mexique et réduit en esclavage. Bien qu'obligé de travailler dans la plantation de son maître, il n’a jamais cessé de rêver de liberté. Inspiré de faits historiques et mêlant théâtre d’ombres et animation dessinée à la main, _Nyanga_ rend hommage à la résistance contre les chaînes du colonialisme.
Une femme peut-elle se réaliser pleinement tout en assumant les exigences de la maternité? Tourné durant une grossesse réelle, et basé sur le journal que la réalisatrice Anne Claire Poirier a elle-même tenu pendant l'une de ses grossesses, ce documentaire montre le corps de la femme enceinte, révélant ses émotions et ses angoisses.
Dans les rues de Montréal, le printemps est arrivé. Les petites filles sortent leurs bolos, cordes à danser, élastiques et ballons, s’activant joyeusement au rythme de délicieuses comptines. Fraîcheur, spontanéité, naïveté, joies et peines : tout est là, dans ces petites chansons. Un univers que les adultes retrouveront avec un plaisir certain.
À partir de son expérience de la maternité et de l’indéfectible excellence de la machine, Natalia Almada envisage, sous forme d’essai dystopique, le futur de ses enfants dans un monde technologique. Entre émerveillement et effroi, les images d’une beauté spectaculaire rendent compte d’une société « parfaite » terrifiante.
Iels s’appellent Anne-Charlotte, Joohee, Céline, Niyongira et Mathieu. Iels ont entre 25 et 52 ans, et sont originaires du Brésil, du Sri Lanka, du Rwanda, de Corée du Sud ou encore d’Australie. Ces cinq personnes partagent une identité : celle de personnes adoptées. Séparé·e·s dès l’enfance de leurs familles et pays d’origine, iels ont grandi dans des familles françaises. Leurs récits de vie e...
Une balade sans fin d’un taxi à l’autre dans le Lima des années 1990. Tant de monde, si peu de moyens de gagner sa vie dans ce pays en crise; chacun·e tente sa chance avec son auto au bord de l’effondrement. La vie entière est là, résumée et enchantée.
Noriko Oi, une Canadienne d'origine japonaise vivant à Montréal depuis plus de 20 ans, s'apprête à retourner à Nagasaki, sa ville natale, pour aider ses frères et sœurs à vider la maison familiale qui sera bientôt vendue. Entre les murs de cette vieille maison se trouvent les fragments de l'histoire de la famille Oi. Noriko décide de reconstituer le passé de sa mère, Mitsuko, survivante de la b...
Au sein de la troupe, la vague de départs amorcée du temps de _As-tu vu? Les maisons s’emportent!_ se poursuit, et les routes se séparent. Militer est un travail qui ne finit jamais : parfois, ça épuise. En 2006, 30 ans après le discours du 8 mars 1976 qui clôt le premier épisode de _Nous sortirons de nos cuisines_, les Québécoises gagnent leur bataille pour la gratuité de l’avortement : doréna...
Nous sortirons de nos cuisines - Épisode 3 - As-tu vu? Les maisons s’emportent! (1979-81)
Nouveauté !La première de _As-tu vu? Les maisons s’emportent!_ a lieu 10 jours avant le premier référendum sur la souveraineté du Québec. Un vent de conservatisme souffle sur l’Occident : les politiques de privatisation profitent à ceux qui ont déjà tout, et on assiste au démantèlement progressif de l’État et du bien commun. Carole Fréchette propose : « Et si on faisait un spectacle? Mais cette fois, on d...
Les voix des amis nord-africains de Jamal, emprisonnés dans les centres de détention, arrivent des montagnes autour de la métropole d’Athènes. Lui, confiné dans une petite pièce au huitième étage d’un immeuble à moitié abandonné, cherche les mots qui résoudraient le labyrinthe de la vie et de l’existence.
Le stade Maracanã brille de mille feux. Nous sommes en 2016, et toutes les caméras sont braquées sur l’inauguration des Jeux olympiques de Rio de Janeiro. À quelques rues de là, c’est un tout autre monde. Assis sur un toit, des gamins regardent de loin les feux d’artifice. Nous sommes dans un bâtiment fédéral en ruine, sous le joug des trafiquants. Là vivent une centaine de familles miséreuses,...
Les homards se voient pas _as_ rouge, c'est nous qui les _boil alive_.
En 1982, la maison familiale de Jocelyne Saab, vieille de 150 ans, est la proie des flammes. En collaboration avec le dramaturge libanais Roger Assaf, elle entreprend de sillonner sa ville, assiégée par les Israéliens, et de témoigner de la situation à Beyrouth, du départ des Palestiniens et de l'incompréhension des civils qui souffrent de la guerre.
Portrait de Raymond Eddé, en lice pour les élections présidentielles libanaises, et grand opposant à la guerre confessionnelle. Durant les conflits de 1975-1976, il a recherché activement, avec son équipe, les disparus de guerre, qu’ils soient chrétiens, druzes ou musulmans.
La cinéaste Jocelyne Saab donne la parole aux femmes palestiniennes, victimes souvent oubliées du conflit israélo-palestinien.
Nous sortirons de nos cuisines - Épisode 2 - Môman travaille pas, a trop d’ouvrage! (1974-75)
Durée : 1h01L’ONU déclare 1975 l'« Année internationale de la femme », ironiquement enfermée dans son singulier. C’est une époque charnière : de plus en plus de femmes divorcent ou font leur entrée sur le marché du travail. Or, une grossesse suffit pour justifier un congédiement, et les congés de maternité n’existeront pas avant 1979. Les membres du Théâtre des Cuisines remontent sur scène avec _Môman trav...
Nous sortirons de nos cuisines - Épisode 1 - Nous aurons les enfants que nous voulons (1968-74)
Durée : 1h02Montréal, 1973. La loi canadienne autorise désormais l’avortement. Mais les critères sont très restrictifs et les femmes dépendent du bon – ou plus souvent, du mauvais – vouloir des hommes siégeant sur les comités qui les permettent ou les refusent. Le Québec est la province où il est le plus difficile d’interrompre une grossesse non désirée, et les avortements clandestins sont fréquents : ils ...
Les discours marketing des années 1940 à 1970 laissaient croire que l’émancipation des femmes au cours du 20e siècle aurait été rendue possible grâce aux nouvelles technologies facilitant l'exécution des tâches ménagères. Par le remploi de films publicitaires et d’archives télévisuelles, cet essai rétrofuturiste féministe interroge ce discours capitaliste pour examiner la relation des femmes au...
La réalisatrice Medhin Tewolde Serrano a environ sept ans lorsque, pour la première fois, elle entend quelqu'un dans la rue lui crier « negra ». Ce jour-là, elle découvre qu’elle est noire — et les rires autour d’elle lui font rapidement comprendre que ce n’est sans doute pas une bonne chose… À travers les récits de cinq femmes d’ascendance africaine vivant au Mexique, _Negra_ explore ce que si...
À l’époque coloniale, Gaspar Yanga a été enlevé sur les côtes africaines, emmené au Mexique et réduit en esclavage. Bien qu'obligé de travailler dans la plantation de son maître, il n’a jamais cessé de rêver de liberté. Inspiré de faits historiques et mêlant théâtre d’ombres et animation dessinée à la main, _Nyanga_ rend hommage à la résistance contre les chaînes du colonialisme.
Une femme peut-elle se réaliser pleinement tout en assumant les exigences de la maternité? Tourné durant une grossesse réelle, et basé sur le journal que la réalisatrice Anne Claire Poirier a elle-même tenu pendant l'une de ses grossesses, ce documentaire montre le corps de la femme enceinte, révélant ses émotions et ses angoisses.
Dans les rues de Montréal, le printemps est arrivé. Les petites filles sortent leurs bolos, cordes à danser, élastiques et ballons, s’activant joyeusement au rythme de délicieuses comptines. Fraîcheur, spontanéité, naïveté, joies et peines : tout est là, dans ces petites chansons. Un univers que les adultes retrouveront avec un plaisir certain.
À partir de son expérience de la maternité et de l’indéfectible excellence de la machine, Natalia Almada envisage, sous forme d’essai dystopique, le futur de ses enfants dans un monde technologique. Entre émerveillement et effroi, les images d’une beauté spectaculaire rendent compte d’une société « parfaite » terrifiante.
Iels s’appellent Anne-Charlotte, Joohee, Céline, Niyongira et Mathieu. Iels ont entre 25 et 52 ans, et sont originaires du Brésil, du Sri Lanka, du Rwanda, de Corée du Sud ou encore d’Australie. Ces cinq personnes partagent une identité : celle de personnes adoptées. Séparé·e·s dès l’enfance de leurs familles et pays d’origine, iels ont grandi dans des familles françaises. Leurs récits de vie e...