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Vampires, It's Nothing to Laugh At
Durée : 1h14Dans les années 60, un anthropologue croit découvrir l'existence d'une femme-vampire au sein de la communauté cachoube de Wilno, en Ontario. Kinga Michalska retourne dans ce village encore marqué par le traumatisme de cette médiatisation, utilisant un mélange habile d’images d’archives et de performances pour interroger la relation entre réalité vécue et « vérité » scientifique.
_Le récit d'A_, c'est plusieurs récits qui évoluent dans une même vidéo, des univers parallèles qui se font écho sans jamais se croiser. Esther Valiquette utilise des traces autobiographiques mêlant animation et imagerie médicale pour parler d'une trace plus vaste : celle d'une jeunesse dévastée par le sida, et de sa vie à elle, désertée de sa jeunesse. La vidéo parle aussi du regard, de cette ...
À mi-chemin entre l’observation, la performance et une collaboration père-fils, _Everything Lives_ explore la manière dont Ken, le père du cinéaste, perçoit le temps dans les granges où il travaille : le temps qu’il consacre au jeu, le temps propre à la peinture, ou encore le temps nécessaire pour construire toute une vie. Ce court métrage en 16mm est une enfilade intime de surfaces, de sons et...
En 1980, la pianiste de jazz américaine Kazzrie Jaxen visionne _De la vie des marionnettes_ d'Ingmar Bergman. Par la suite, elle lui écrit une lettre de seize pages pour expliquer comment le film avait changé sa vie. _Dear Director_ est basé sur cette correspondance réelle, que le réalisateur suédois Marcus Lindeen découvre alors qu'il faisait des recherches sur des scénarios inachevés de Bergm...
Situé sur l'île Fogo, au large de la côte de Terre-Neuve, _Dropstones_ est un portrait intime d'une mère de famille peu de temps après son retour dans la maison qu'elle avait autrefois désiré fuir. Alors qu'elle élève ses deux jeunes fils, Luke et Sean, Sonya se retrouve à puiser dans les traditions de son île pour relever les défis de la maternité. Se déroulant au fil des saisons sur une année...
Un film musical sur une chanson des Folles Alliées illustrant les insultes inadmissibles faites au corps et à l’intellect féminins : harcèlement sexuel, publicités et vidéoclips sexistes, pornographie, violence conjugale, viol.
Un court récit déconstruit sur la dépression et la santé mentale d’une femme qui boit.
Ça n'est pas le temps des romans
Durée : 28 minutesAu milieu des plaisirs de l'été et des ébats de ses enfants, une jeune femme s'interroge sur la signification de sa vie d'épouse et de mère, et sur ses chances de bonheur. Tourné au cours des années 1960, ce film mettant en vedette Monique Mercure et Marc Favreau dépeint la « condition féminine » sous plusieurs aspects.
Tout le temps, tout le temps, tout le temps... ?
Durée : 1h55Une famille québécoise dispersée dans la grande ville se réunit à la campagne, à Sainte-Théodosie, et discute de l'importance de l'amour, de la vie-qui-vaut-la-peine-d'être-vécue, du besoin de liberté et de la société-qui-est-mal-faite.
_Fragments of Resilience_ révèle le processus de création et les histoires des personnes derrière _Every Minute Motherland_, une performance de danse réalisée en réponse à la guerre en Ukraine par une équipe polonaise accompagnée de réfugié·e·s ukrainien·ne·s.
La chorégraphe Hadar Ahuvia, basée à New York, s'interroge sur les racines des danses folkloriques israéliennes qu'elle a appris à danser avec sa mère aux États-Unis. Confrontée à des histoires romancées sur ses grands-parents, colons en Palestine dans les années 1930, elle entame une démarche personnelle pour confronter les mythologies fondatrices et les transgressions du sionisme. Un réseau d...
David était danseur de ballet. Pendant 45 ans, presque personne ne le savait. Dans _Dad Can Dance_, son fils découvre des secrets de famille longtemps enfouis à propos de leur amour commun pour le mouvement, dans cette histoire de réaffirmation de soi qui explore la joie d'être artiste.
Tous les dimanches, Hudson retourne voir son père à Parc-Extension. Sur son chemin, il croise Baki, son ami d’enfance. Ensemble, ils déambulent dans les rues de leur quartier, comme ils le faisaient durant leur jeunesse. Nostalgique, Hudson explique comment les expériences qu’il a vécues dans ce quartier ont forgé sa personnalité.
Dans l’intimité d’un studio viennois, deux jeunes comédien·ne·s ressuscitent le milieu littéraire et l’atmosphère de l’après-guerre, à travers leur lecture de la correspondance du poète Paul Celan, juif roumain, et de la poétesse autrichienne Ingeborg Bachmann, fille d’un militant de l’ex-parti national-socialiste.
« La vie m’enleva mon père à l’enfance, puis ma mère et mon frère à peine adolescente. Partir, pour m’isoler, m’évader, fuir. Le temps efface-t-il vraiment les choses? À mon retour d’un long exil, je me souviens. Voyage à rebours, mouvance intérieure. Avenir. Un éloge à ma terre natale. » (Lysanne Thibodeau)
« Mon père a immortalisé, dans des films de famille, les plus beaux moments de sa vie, tandis que les difficultés de ma mère frappaient l'angle mort de ses images. Aujourd'hui, je revisite ces films pour raconter une autre histoire : celle d'une femme qui voit son rôle de mère lui enlever peu à peu sa liberté. » (Faustine Cros)
Deux cinéastes échangent des impressions du lieu et du moment par le biais de ciné-lettres, étayées par une trame sonore qui oscille entre réel et immatériel. Les sons deviennent alors narration et portent les images mouvantes d’une rencontre qui se profile au gré des bobines 16mm qui alternent de l’un·e à l’autre.
Entre février et juin 1991, les cinéastes Robert Kramer et Stephen Dwoskin ont échangé plusieurs lettres vidéo (quatre par Kramer, trois par Dwoskin) tournées en Hi-8. Ces _Vidéolettres_ les libèrent des formalités qui encombraient alors leur travail et leurs réflexions. À travers cet échange, ils recommencent à apprendre et à regarder.
Lettre d'un cinéaste ou le retour d'un amateur de bibliothèques
Durée : 16 minutesLe cinéaste Raúl Ruiz est retourné dans sa ville natale au Chili et en a rapporté ce film tourné en Super 8. À travers la quête d'un mystérieux livre à la couverture rose, le cinéaste effectue une balade dans la ville de Santiago et dans ses faubourgs, dans sa maison natale et chez des amis retrouvés. En filigrane, le coup d'État de septembre 1973 et le régime d'Augusto Pinochet.
Vampires, It's Nothing to Laugh At
Durée : 1h14Dans les années 60, un anthropologue croit découvrir l'existence d'une femme-vampire au sein de la communauté cachoube de Wilno, en Ontario. Kinga Michalska retourne dans ce village encore marqué par le traumatisme de cette médiatisation, utilisant un mélange habile d’images d’archives et de performances pour interroger la relation entre réalité vécue et « vérité » scientifique.
_Le récit d'A_, c'est plusieurs récits qui évoluent dans une même vidéo, des univers parallèles qui se font écho sans jamais se croiser. Esther Valiquette utilise des traces autobiographiques mêlant animation et imagerie médicale pour parler d'une trace plus vaste : celle d'une jeunesse dévastée par le sida, et de sa vie à elle, désertée de sa jeunesse. La vidéo parle aussi du regard, de cette ...
À mi-chemin entre l’observation, la performance et une collaboration père-fils, _Everything Lives_ explore la manière dont Ken, le père du cinéaste, perçoit le temps dans les granges où il travaille : le temps qu’il consacre au jeu, le temps propre à la peinture, ou encore le temps nécessaire pour construire toute une vie. Ce court métrage en 16mm est une enfilade intime de surfaces, de sons et...
En 1980, la pianiste de jazz américaine Kazzrie Jaxen visionne _De la vie des marionnettes_ d'Ingmar Bergman. Par la suite, elle lui écrit une lettre de seize pages pour expliquer comment le film avait changé sa vie. _Dear Director_ est basé sur cette correspondance réelle, que le réalisateur suédois Marcus Lindeen découvre alors qu'il faisait des recherches sur des scénarios inachevés de Bergm...
Situé sur l'île Fogo, au large de la côte de Terre-Neuve, _Dropstones_ est un portrait intime d'une mère de famille peu de temps après son retour dans la maison qu'elle avait autrefois désiré fuir. Alors qu'elle élève ses deux jeunes fils, Luke et Sean, Sonya se retrouve à puiser dans les traditions de son île pour relever les défis de la maternité. Se déroulant au fil des saisons sur une année...
Un film musical sur une chanson des Folles Alliées illustrant les insultes inadmissibles faites au corps et à l’intellect féminins : harcèlement sexuel, publicités et vidéoclips sexistes, pornographie, violence conjugale, viol.
Un court récit déconstruit sur la dépression et la santé mentale d’une femme qui boit.
Ça n'est pas le temps des romans
Durée : 28 minutesAu milieu des plaisirs de l'été et des ébats de ses enfants, une jeune femme s'interroge sur la signification de sa vie d'épouse et de mère, et sur ses chances de bonheur. Tourné au cours des années 1960, ce film mettant en vedette Monique Mercure et Marc Favreau dépeint la « condition féminine » sous plusieurs aspects.
Tout le temps, tout le temps, tout le temps... ?
Durée : 1h55Une famille québécoise dispersée dans la grande ville se réunit à la campagne, à Sainte-Théodosie, et discute de l'importance de l'amour, de la vie-qui-vaut-la-peine-d'être-vécue, du besoin de liberté et de la société-qui-est-mal-faite.
_Fragments of Resilience_ révèle le processus de création et les histoires des personnes derrière _Every Minute Motherland_, une performance de danse réalisée en réponse à la guerre en Ukraine par une équipe polonaise accompagnée de réfugié·e·s ukrainien·ne·s.
La chorégraphe Hadar Ahuvia, basée à New York, s'interroge sur les racines des danses folkloriques israéliennes qu'elle a appris à danser avec sa mère aux États-Unis. Confrontée à des histoires romancées sur ses grands-parents, colons en Palestine dans les années 1930, elle entame une démarche personnelle pour confronter les mythologies fondatrices et les transgressions du sionisme. Un réseau d...
David était danseur de ballet. Pendant 45 ans, presque personne ne le savait. Dans _Dad Can Dance_, son fils découvre des secrets de famille longtemps enfouis à propos de leur amour commun pour le mouvement, dans cette histoire de réaffirmation de soi qui explore la joie d'être artiste.
Tous les dimanches, Hudson retourne voir son père à Parc-Extension. Sur son chemin, il croise Baki, son ami d’enfance. Ensemble, ils déambulent dans les rues de leur quartier, comme ils le faisaient durant leur jeunesse. Nostalgique, Hudson explique comment les expériences qu’il a vécues dans ce quartier ont forgé sa personnalité.
Dans l’intimité d’un studio viennois, deux jeunes comédien·ne·s ressuscitent le milieu littéraire et l’atmosphère de l’après-guerre, à travers leur lecture de la correspondance du poète Paul Celan, juif roumain, et de la poétesse autrichienne Ingeborg Bachmann, fille d’un militant de l’ex-parti national-socialiste.
« La vie m’enleva mon père à l’enfance, puis ma mère et mon frère à peine adolescente. Partir, pour m’isoler, m’évader, fuir. Le temps efface-t-il vraiment les choses? À mon retour d’un long exil, je me souviens. Voyage à rebours, mouvance intérieure. Avenir. Un éloge à ma terre natale. » (Lysanne Thibodeau)
« Mon père a immortalisé, dans des films de famille, les plus beaux moments de sa vie, tandis que les difficultés de ma mère frappaient l'angle mort de ses images. Aujourd'hui, je revisite ces films pour raconter une autre histoire : celle d'une femme qui voit son rôle de mère lui enlever peu à peu sa liberté. » (Faustine Cros)
Deux cinéastes échangent des impressions du lieu et du moment par le biais de ciné-lettres, étayées par une trame sonore qui oscille entre réel et immatériel. Les sons deviennent alors narration et portent les images mouvantes d’une rencontre qui se profile au gré des bobines 16mm qui alternent de l’un·e à l’autre.
Entre février et juin 1991, les cinéastes Robert Kramer et Stephen Dwoskin ont échangé plusieurs lettres vidéo (quatre par Kramer, trois par Dwoskin) tournées en Hi-8. Ces _Vidéolettres_ les libèrent des formalités qui encombraient alors leur travail et leurs réflexions. À travers cet échange, ils recommencent à apprendre et à regarder.
Lettre d'un cinéaste ou le retour d'un amateur de bibliothèques
Durée : 16 minutesLe cinéaste Raúl Ruiz est retourné dans sa ville natale au Chili et en a rapporté ce film tourné en Super 8. À travers la quête d'un mystérieux livre à la couverture rose, le cinéaste effectue une balade dans la ville de Santiago et dans ses faubourgs, dans sa maison natale et chez des amis retrouvés. En filigrane, le coup d'État de septembre 1973 et le régime d'Augusto Pinochet.