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Au cœur d'une forêt équatoriale du Congo, les vestiges d’un centre de recherches dédié à l'agriculture tropicale révèlent le poids du passé colonial et ses liens inextricables avec les changements climatiques. Cet essai en trois volets compose une analyse percutante de l'histoire coloniale de la Belgique, dont les conséquences sont toujours actuelles.
_Atalaya_ signifie « tour de guet » en espagnol. C’est aussi le nom des îles chiliennes où ont été retrouvés en 1998 les débris du bateau de Gerry Roufs, le père navigateur de la cinéaste, disparu en mer. C’est également le mot clef du livre _Une Atalaya pour Gerry Roufs_ écrit par sa mère, Michèle Cartier, qui retrace la recherche qu’elle entreprendra pour le retrouver en 1997-1998. _Atalaya_,...
Pour combler l’absence de sa fille de six ans vivant à Berlin, un cinéaste montréalais tient un journal filmique qui le replonge dans sa relation avec son père adoptif et son père biologique, qu’il n’a pas connu. Son journal devient aussi une réflexion sur le cinéma en revisitant le travail de cinéastes qui l’ont marqué comme Ingmar Bergman et Wim Wenders. _Journal d’un père_ est une réponse po...
Une équipe d’astronautes quitte la Terre en plein confinement. Alors que la planète se trouve « en pause », ses habitant·e·s partagent leur expérience de la pandémie de COVID-19 et ses conséquences sur leur santé mentale.
Un enfant élevé dans les montagnes aspire à saisir la réalité. Le monde intérieur et extérieur se brouille dans son esprit alors qu’il évoque ses obsessions et capture son environnement avec un appareil photo.
Dans ce film, le cinéaste Derek May tourne sa caméra vers sa propre vie domestique, tentant de la montrer « telle qu’elle est », sans la structure conventionnelle imposée par le cinéma. Il cherche à refléter la solitude fondamentale des gens, la vie en suspens, l'existence démotivée. La vie adulte est représentée en noir et blanc, tandis que celle de son jeune fils, Max, est montrée en couleur....
Pense à l'Amérique. Aux cités, aux maisons, à tous les gens, aux arrivées, aux départs, à la venue des enfants, à leur départ, à la mort, à la vie, au mouvement, à la parole. Pense au profond soupir intérieur de tout ce qui vit en Amérique. Penche-toi. Ramasse ce que les autres laissent perdre de la vie. Et fais-en quelque chose...
Tout juste sortie de prison, Léa (Léa Alves Silva) retourne chez elle dans la favela Sol Nascente de Brasilia et rejoint sa demi-sœur Chitara (Joana Darc Furtado), la cheffe intrépide d'un gang exclusivement féminin qui vole et raffine du pétrole provenant de conduites souterraines pour vendre de l'essence à un réseau clandestin de motards. Vivant en opposition constante au gouvernement farouch...
_Silence of the Tides_ est un portrait cinématographique de la plus grande zone humide au monde : la mer des Wadden. Le film témoigne de la relation à la fois rude et fragile entre l'homme et la nature, au rythme de l'inspiration et de l'expiration des marées. C'est un regard hypnotisant sur grand écran sur les cycles et les contrastes des saisons : la vie et la mort, la tempête et le silence, ...
Entre février et juin 1991, les cinéastes Robert Kramer et Stephen Dwoskin ont échangé plusieurs lettres vidéo (quatre par Kramer, trois par Dwoskin) tournées en Hi-8. Ces _Vidéolettres_ les libèrent des formalités qui encombraient alors leur travail et leurs réflexions. À travers cet échange, ils recommencent à apprendre et à regarder.
Bridgeport, 17 janvier 2008. Une adolescente est retrouvée pendue dans sa chambre. Alors que tout laisse croire à un suicide, le rapport d’autopsie révèle une autre évidence. Dix ans plus tard, la réalisatrice et cousine de l’adolescente examine les causes passées ainsi que les conséquences futures de ce crime non résolu. Telle une biographie imaginée, le film explore la relation entre la sécur...
En cette époque d’angoisse et d’agitation, ce film explore les exutoires inusités dans lesquels s’apaisent les tourments du corps et de l’esprit. Dans un voyage méditatif au cœur de ces lieux analgésiques, cet essai documentaire dresse le portrait d’une société en quête de sens et de réconfort.
Une courte histoire de la folie
Accès abonnementLes tableaux d’\_Une courte histoire de la folie\_ nous emmènent à travers l’histoire des traitements de la maladie mentale au Québec de la fin du 19e siècle à aujourd’hui par le biais de la danse contemporaine. Dans des lieux évocateurs, les solitudes prennent plusieurs visages, que ce soit dans la blancheur des institutions, dans l’œil d’une femme fascinée par un feu de circulation ou au cœur...
Hale County This Morning, This Evening
Accès abonnementÀ travers un télescopage d’images, comme autant de fragments empruntés à la vie de ses protagonistes, ce film mosaïque, miroir de la vie d’une communauté afro-américaine du sud des États-Unis, nous entraîne dans un voyage émotionnel et poétique dans les abysses de l’Amérique d’aujourd’hui.
Chris Marker adresse six lettres à son ami, le cinéaste russe Alexandre Medvedkine, mort en 1989. D'archives en entretiens, de fiction en documentaire, de la Russie à l'URSS, de l'URSS à aujourd'hui, le film est un hommage à la mémoire du « dernier des bolchéviques ». Un remarquable portrait qui retrace conjointement l'histoire de l'URSS et celle d'un artiste partagé entre idéologie et indépen...
Un petit village de l'Aude, ses habitants, leurs joies, leurs souffrances et la caméra en liberté du cinéaste en vacances saisissant ces moments intermittents qui, dans le souvenir qu’on en garde, ressemblent si fort au bonheur.
Une cinéaste en plein tournage à New York se questionne sur l'origine de l’impulsion. Alors que son acteur principal quitte le tournage, elle devra faire preuve d’ingéniosité afin de mener à terme son projet. Entre fiction et documentaire, New York et Montréal, \_Impetus\_ est une réflexion sur la création et la remise en mouvement. Mariant l'essai poétique et l'autofiction, c'est aussi un film...
Les pelages bruns, beiges, blancs et noirs se fondent à l’ocre de la terre et des murs inondés de soleil. Calme à l’heure du repos, l’endroit devient assourdissant quand vient le moment de nourrir les bêtes qui entament alors leur concert d’aboiements. Dans le refuge pour chiens errants d’Agadir au Maroc, plus de 750 animaux trouvent aide et protection en attendant d’être adoptés par une famill...
Octobre 1998, Johan van der Keuken apprend que son cancer de la prostate ne lui laisse que quelques années à vivre. Caméra à l’épaule, il part en compagnie de sa femme pour un dernier voyage, dont il fera son dernier film. De Noël 1998 à l’été 1999, il sillonne les pistes du Mali, les contreforts himalayens du Bhoutan, les aéroports américains... Partout, des êtres dans leur quotidien : le ritu...
Chaque année, la bourgeoisie canadienne se réunit au banquet du Beaver Club. Elle y célèbre le vieux système d'exploitation coloniale britannique et son avatar moderne, le néocolonialisme canadien.
Au cœur d'une forêt équatoriale du Congo, les vestiges d’un centre de recherches dédié à l'agriculture tropicale révèlent le poids du passé colonial et ses liens inextricables avec les changements climatiques. Cet essai en trois volets compose une analyse percutante de l'histoire coloniale de la Belgique, dont les conséquences sont toujours actuelles.
_Atalaya_ signifie « tour de guet » en espagnol. C’est aussi le nom des îles chiliennes où ont été retrouvés en 1998 les débris du bateau de Gerry Roufs, le père navigateur de la cinéaste, disparu en mer. C’est également le mot clef du livre _Une Atalaya pour Gerry Roufs_ écrit par sa mère, Michèle Cartier, qui retrace la recherche qu’elle entreprendra pour le retrouver en 1997-1998. _Atalaya_,...
Pour combler l’absence de sa fille de six ans vivant à Berlin, un cinéaste montréalais tient un journal filmique qui le replonge dans sa relation avec son père adoptif et son père biologique, qu’il n’a pas connu. Son journal devient aussi une réflexion sur le cinéma en revisitant le travail de cinéastes qui l’ont marqué comme Ingmar Bergman et Wim Wenders. _Journal d’un père_ est une réponse po...
Une équipe d’astronautes quitte la Terre en plein confinement. Alors que la planète se trouve « en pause », ses habitant·e·s partagent leur expérience de la pandémie de COVID-19 et ses conséquences sur leur santé mentale.
Un enfant élevé dans les montagnes aspire à saisir la réalité. Le monde intérieur et extérieur se brouille dans son esprit alors qu’il évoque ses obsessions et capture son environnement avec un appareil photo.
Dans ce film, le cinéaste Derek May tourne sa caméra vers sa propre vie domestique, tentant de la montrer « telle qu’elle est », sans la structure conventionnelle imposée par le cinéma. Il cherche à refléter la solitude fondamentale des gens, la vie en suspens, l'existence démotivée. La vie adulte est représentée en noir et blanc, tandis que celle de son jeune fils, Max, est montrée en couleur....
Pense à l'Amérique. Aux cités, aux maisons, à tous les gens, aux arrivées, aux départs, à la venue des enfants, à leur départ, à la mort, à la vie, au mouvement, à la parole. Pense au profond soupir intérieur de tout ce qui vit en Amérique. Penche-toi. Ramasse ce que les autres laissent perdre de la vie. Et fais-en quelque chose...
Tout juste sortie de prison, Léa (Léa Alves Silva) retourne chez elle dans la favela Sol Nascente de Brasilia et rejoint sa demi-sœur Chitara (Joana Darc Furtado), la cheffe intrépide d'un gang exclusivement féminin qui vole et raffine du pétrole provenant de conduites souterraines pour vendre de l'essence à un réseau clandestin de motards. Vivant en opposition constante au gouvernement farouch...
_Silence of the Tides_ est un portrait cinématographique de la plus grande zone humide au monde : la mer des Wadden. Le film témoigne de la relation à la fois rude et fragile entre l'homme et la nature, au rythme de l'inspiration et de l'expiration des marées. C'est un regard hypnotisant sur grand écran sur les cycles et les contrastes des saisons : la vie et la mort, la tempête et le silence, ...
Entre février et juin 1991, les cinéastes Robert Kramer et Stephen Dwoskin ont échangé plusieurs lettres vidéo (quatre par Kramer, trois par Dwoskin) tournées en Hi-8. Ces _Vidéolettres_ les libèrent des formalités qui encombraient alors leur travail et leurs réflexions. À travers cet échange, ils recommencent à apprendre et à regarder.
Bridgeport, 17 janvier 2008. Une adolescente est retrouvée pendue dans sa chambre. Alors que tout laisse croire à un suicide, le rapport d’autopsie révèle une autre évidence. Dix ans plus tard, la réalisatrice et cousine de l’adolescente examine les causes passées ainsi que les conséquences futures de ce crime non résolu. Telle une biographie imaginée, le film explore la relation entre la sécur...
En cette époque d’angoisse et d’agitation, ce film explore les exutoires inusités dans lesquels s’apaisent les tourments du corps et de l’esprit. Dans un voyage méditatif au cœur de ces lieux analgésiques, cet essai documentaire dresse le portrait d’une société en quête de sens et de réconfort.
Une courte histoire de la folie
Accès abonnementLes tableaux d’\_Une courte histoire de la folie\_ nous emmènent à travers l’histoire des traitements de la maladie mentale au Québec de la fin du 19e siècle à aujourd’hui par le biais de la danse contemporaine. Dans des lieux évocateurs, les solitudes prennent plusieurs visages, que ce soit dans la blancheur des institutions, dans l’œil d’une femme fascinée par un feu de circulation ou au cœur...
Hale County This Morning, This Evening
Accès abonnementÀ travers un télescopage d’images, comme autant de fragments empruntés à la vie de ses protagonistes, ce film mosaïque, miroir de la vie d’une communauté afro-américaine du sud des États-Unis, nous entraîne dans un voyage émotionnel et poétique dans les abysses de l’Amérique d’aujourd’hui.
Chris Marker adresse six lettres à son ami, le cinéaste russe Alexandre Medvedkine, mort en 1989. D'archives en entretiens, de fiction en documentaire, de la Russie à l'URSS, de l'URSS à aujourd'hui, le film est un hommage à la mémoire du « dernier des bolchéviques ». Un remarquable portrait qui retrace conjointement l'histoire de l'URSS et celle d'un artiste partagé entre idéologie et indépen...
Un petit village de l'Aude, ses habitants, leurs joies, leurs souffrances et la caméra en liberté du cinéaste en vacances saisissant ces moments intermittents qui, dans le souvenir qu’on en garde, ressemblent si fort au bonheur.
Une cinéaste en plein tournage à New York se questionne sur l'origine de l’impulsion. Alors que son acteur principal quitte le tournage, elle devra faire preuve d’ingéniosité afin de mener à terme son projet. Entre fiction et documentaire, New York et Montréal, \_Impetus\_ est une réflexion sur la création et la remise en mouvement. Mariant l'essai poétique et l'autofiction, c'est aussi un film...
Les pelages bruns, beiges, blancs et noirs se fondent à l’ocre de la terre et des murs inondés de soleil. Calme à l’heure du repos, l’endroit devient assourdissant quand vient le moment de nourrir les bêtes qui entament alors leur concert d’aboiements. Dans le refuge pour chiens errants d’Agadir au Maroc, plus de 750 animaux trouvent aide et protection en attendant d’être adoptés par une famill...
Octobre 1998, Johan van der Keuken apprend que son cancer de la prostate ne lui laisse que quelques années à vivre. Caméra à l’épaule, il part en compagnie de sa femme pour un dernier voyage, dont il fera son dernier film. De Noël 1998 à l’été 1999, il sillonne les pistes du Mali, les contreforts himalayens du Bhoutan, les aéroports américains... Partout, des êtres dans leur quotidien : le ritu...
Chaque année, la bourgeoisie canadienne se réunit au banquet du Beaver Club. Elle y célèbre le vieux système d'exploitation coloniale britannique et son avatar moderne, le néocolonialisme canadien.