Anotc ota ickwaparin akosiin


Image de couverture Anotc ota ickwaparin akosiin

À la maison, une mère s’occupe des tâches ménagères tandis que de l’autre côté, sa fille joue, insouciante. Une voix off s’adresse à sa propre mère, lui confessant des souvenirs heureux puis douloureux, éveillant des blessures profondes transmises de génération en génération. 



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Réalisateur

Catherine Boivin

Acteur

L'équipe de Tënk

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On en vient parfois à se questionner sur la nature et le sens des gestes avec lesquels on a été élevé·e·s. Les gestes et regards répétés au quotidien se couvrent alors d’une nouvelle couche de sens. Le passé peut constituer un refuge pour tenter de comprendre les paroles qui nous ont été adressées. Consciente de la capacité des vécus à se transmettre, parfois de manière inaudible, de part et d’autre dans le temps, Catherine Boivin, mère à son tour, se remémore les souvenirs qui ont marqué son enfance. Elle pose par ce biais la question déterminante de la transmission. Dans quelle mesure peut-on s’émanciper d’un vécu qui structure notre identité, bien qu’il ne nous appartienne pas? Bien que la cinéaste se propose d’y répondre par l’image, le dilemme subsiste, flottant, dans le cadre du diptyque qu’elle choisit ici de nous présenter.

 

 

Yulia Kaiava
Assistante éditoriale de Tënk
 

 

 


  • Français

    Français

    6 mn

    Langue : Français
  • English

    English

    6 mn

    Langue : English
  • Année 2024
  • Pays Québec
  • Durée 6
  • Producteur Wapikoni mobile
  • Langue Atikamekw, Français
  • Sous-titres Français, Anglais
  • Résumé court Une voix maternelle dévoile tour à tour des souvenirs heureux et douloureux, faisant émerger des blessures profondes transmises de génération en génération.
  • Ordre 5

On en vient parfois à se questionner sur la nature et le sens des gestes avec lesquels on a été élevé·e·s. Les gestes et regards répétés au quotidien se couvrent alors d’une nouvelle couche de sens. Le passé peut constituer un refuge pour tenter de comprendre les paroles qui nous ont été adressées. Consciente de la capacité des vécus à se transmettre, parfois de manière inaudible, de part et d’autre dans le temps, Catherine Boivin, mère à son tour, se remémore les souvenirs qui ont marqué son enfance. Elle pose par ce biais la question déterminante de la transmission. Dans quelle mesure peut-on s’émanciper d’un vécu qui structure notre identité, bien qu’il ne nous appartienne pas? Bien que la cinéaste se propose d’y répondre par l’image, le dilemme subsiste, flottant, dans le cadre du diptyque qu’elle choisit ici de nous présenter.

 

 

Yulia Kaiava
Assistante éditoriale de Tënk
 

 

 


  • Français

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    Durée : 6 minutes
    Langue : Français
    6 mn
  • English

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    Durée : 6 minutes
    Langue : English
    6 mn
  • Année 2024
  • Pays Québec
  • Durée 6
  • Producteur Wapikoni mobile
  • Langue Atikamekw, Français
  • Sous-titres Français, Anglais
  • Résumé court Une voix maternelle dévoile tour à tour des souvenirs heureux et douloureux, faisant émerger des blessures profondes transmises de génération en génération.
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