Comptines


Image de couverture Comptines

Dans les rues de Montréal, le printemps est arrivé. Les petites filles sortent leurs bolos, cordes à danser, élastiques et ballons, s’activant joyeusement au rythme de délicieuses comptines. Fraîcheur, spontanéité, naïveté, joies et peines : tout est là, dans ces petites chansons. Un univers que les adultes retrouveront avec un plaisir certain.


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Les mélodies et les mots des comptines de notre enfance collent à jamais dans notre mémoire. « Les douze mois de l’année sont… »

Les jeux des enfants peuvent paraître banals, mais il suffit qu’une cinéaste décide de porter attention à ce qui peut être considéré comme un bruit de fond pour découvrir tout un monde. Celui de l’enfance précieuse, du ludique, des amitiés, des éclats de rire, des petites games d’inclusion et d’exclusion. 

La réalisatrice Manon Barbeau a décidé, le temps d’un court métrage, de poser son regard et son micro sur les jeux à la corde et les jeux de mains des gamines. Leur vitalité est marquante.

Tourné en pellicule par Serge Giguère et Pierre Mignot, le film révèle magnifiquement les couleurs des années 1970 : des vêtements des enfants de l’époque aux ruelles et parcs de Montréal. Ces couleurs saturées accompagnent toute l’énergie des sautillantes et éveillent un sentiment de nostalgie.

Pour Manon Barbeau, ce film porte sur l’insouciance des petites filles. Et on a envie, en terminant le film, de retrouver la nôtre en sautant à l’élastique. Peut-être un peu moins haut, mais en ne manquant aucun mot de ces comptines si souvent récitées. L’enfance ne nous quitte jamais.

 

 

Christine Chevarie
Cinéaste

 


  • Français

    Français

    11 mn

    Langue : Français
  • Année 1975
  • Pays Québec
  • Durée 11
  • Producteur ONF / NFB
  • Langue Français
  • Résumé court Dans les rues de Montréal, des fillettes célèbrent le printemps en chansons et en jeux.

Les mélodies et les mots des comptines de notre enfance collent à jamais dans notre mémoire. « Les douze mois de l’année sont… »

Les jeux des enfants peuvent paraître banals, mais il suffit qu’une cinéaste décide de porter attention à ce qui peut être considéré comme un bruit de fond pour découvrir tout un monde. Celui de l’enfance précieuse, du ludique, des amitiés, des éclats de rire, des petites games d’inclusion et d’exclusion. 

La réalisatrice Manon Barbeau a décidé, le temps d’un court métrage, de poser son regard et son micro sur les jeux à la corde et les jeux de mains des gamines. Leur vitalité est marquante.

Tourné en pellicule par Serge Giguère et Pierre Mignot, le film révèle magnifiquement les couleurs des années 1970 : des vêtements des enfants de l’époque aux ruelles et parcs de Montréal. Ces couleurs saturées accompagnent toute l’énergie des sautillantes et éveillent un sentiment de nostalgie.

Pour Manon Barbeau, ce film porte sur l’insouciance des petites filles. Et on a envie, en terminant le film, de retrouver la nôtre en sautant à l’élastique. Peut-être un peu moins haut, mais en ne manquant aucun mot de ces comptines si souvent récitées. L’enfance ne nous quitte jamais.

 

 

Christine Chevarie
Cinéaste

 


  • Français

    Français


    Durée : 11 minutes
    Langue : Français
    11 mn
  • Année 1975
  • Pays Québec
  • Durée 11
  • Producteur ONF / NFB
  • Langue Français
  • Résumé court Dans les rues de Montréal, des fillettes célèbrent le printemps en chansons et en jeux.

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