Monteur de formation, Arno Bitschy découvre le cinéma documentaire comme bénévole aux États généraux du film documentaire de Lussas. Un cinéma exigeant et un champ des possibles infini. Il réalise son premier documentaire Marie-France (2007), le portrait d’une femme tatouée, qui exorcise ses démons et les souffrances de son passé par le tatouage. Il développe ensuite un projet musical et documentaire avec le label de musique Jarring Effects, Mother City Blues (2013) au Cap, en Afrique du Sud. Ce projet mutera en série pour aboutir à Detroit, autre capitale de la musique, avec Resilience (2015). Il y retourne pour filmer Jazz, portrait d'une âme oubliée de Detroit, le portrait d'une vieille femme qui chante des chansons de Billie Holiday dans sa maison abandonnée. Au fil de ses expériences, Arno Bitschy affûte une caméra sans concession avec l’envie de capter l’humain dans sa complexité et ses facettes les plus étranges.
Dans une Amérique plus divisée que jamais, Detroit, ville fantomatique, révèle la face sombre du rêve américain. Dans une des nombreuses maisons abandonnées vit une vieille femme, Jazz. Elle chante des vieux morceaux de Billie Holiday, des histoires d’amour tristes, des destins déchus, des passions déchirantes. Sur son porche, elle regarde le temps qui passe, loin du chaos qui secoue son pays. ...
Dans une Amérique plus divisée que jamais, Detroit, ville fantomatique, révèle la face sombre du rêve américain. Dans une des nombreuses maisons abandonnées vit une vieille femme, Jazz. Elle chante des vieux morceaux de Billie Holiday, des histoires d’amour tristes, des destins déchus, des passions déchirantes. Sur son porche, elle regarde le temps qui passe, loin du chaos qui secoue son pays. ...