Benjamin R. Taylor is an artist, the creative director of VISIONS and co-director of la lumière collective in Montréal. He enjoys sharing cinema that questions where and when images might be situated, that asks who is speaking, for whom and to whom. As creative director of VISIONS, he facilitates in-person screenings of work that straddles documentary and experimental cinema, that oscilates between the real and the dark glass through which we perceive it. As part of la lumière collective, he encourages cinema at a human scale, films and screenings that bear the marks of their makers and invite audiences into an environment that belongs to them. coups de coeur : PAYSAGE SOUS LES PAUPIÈRES 88-88 UN GRAND BRUIT THE PIMP AND HIS TROPHIES IN ORDER NOT TO BE HERE
Une grande partie des images qui composent _Orchard_ ont été tournées dans des ruines d'un verger clos du XIXe siècle situé dans le sud-ouest de l'Irlande. Nichés profondément dans les bois, les briques et le mortier des murs brisés de cette ruine sont devenus l'ancrage pour les racines d'arbres qui atteignent 20 pieds de hautet dont les racines épaisses s'écoulent comme des filets d'eau lents ...
_Coyolxauhqui_ retrace le démembrement mythique de la déesse aztèque de la lune, Coyolxauhqui, par son frère Huitzilopochtli, divinité de la guerre, du soleil et des sacrifices humains. Le film est un poème sensoriel qui dévoile comment le féminicide mexicain contemporain est lié à une histoire patriarcale qui plonge ses racines dans des constructions culturelles plus profondes.
Une grande partie des images qui composent _Orchard_ ont été tournées dans des ruines d'un verger clos du XIXe siècle situé dans le sud-ouest de l'Irlande. Nichés profondément dans les bois, les briques et le mortier des murs brisés de cette ruine sont devenus l'ancrage pour les racines d'arbres qui atteignent 20 pieds de hautet dont les racines épaisses s'écoulent comme des filets d'eau lents ...
_Coyolxauhqui_ retrace le démembrement mythique de la déesse aztèque de la lune, Coyolxauhqui, par son frère Huitzilopochtli, divinité de la guerre, du soleil et des sacrifices humains. Le film est un poème sensoriel qui dévoile comment le féminicide mexicain contemporain est lié à une histoire patriarcale qui plonge ses racines dans des constructions culturelles plus profondes.