La part du diable


Image de couverture La part du diable

Il y a presque 15 ans, le cinéaste Luc Bourdon plongeait dans les archives du Montréal des années 1954 à 1967 dans l’hypnotique _La mémoire des anges_. Aujourd’hui, c’est dans le réservoir à images constitué à partir du tri de plus de 2000 films des années 70, et dans leur bouillonnement révolutionnaire, culturel et politique, de René Lévesque à Pauline Julien, qu’il plonge. Façonnant à partir de cette matière première un documentaire aussi poétique que lyrique, il ausculte notre mémoire et la façon dont tous ces événements majeurs ont pu constituer notre identité collective.


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Luc Bourdon Luc Bourdon

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Embrasser tout un pays à travers les milliers d'heures d'archives de l'Office national du film du Canada, l'ambition peut sembler folle. C'est pourtant le pari fait par Luc Bourdon. Après l'exploration des années 50 dans La Mémoire des anges en 2008, le réalisateur québécois nous plonge cette fois dans la décennie 70, un tournant tant dans les mœurs que dans les luttes politiques des Québécois.e.s. D'un mariage autochtone aux appels à des actions terroristes, d'un forage dans le Grand Nord à un match de hockey de la Coupe Stanley, le film tire sa force de la juxtaposition de la petite et de la grande histoire. À travers les coiffures, les tenues et la musique populaire, nous assistons aux bouleversements d'une époque. Une façon unique de découvrir les racines et surtout la psyché de la nation québécoise actuelle.

 

 

Éva Tourrent
Réalisatrice et responsable artistique de Tënk France

 

 


  • FR - La part du diable

    FR - La part du diable


    Langue : Français
  • EN - La part du diable

    EN - La part du diable


    Langue : English
  • Année 2017
  • Pays Québec
  • Durée 103
  • Producteur ONF / NFB
  • Langue Français, Anglais
  • Sous-titres Français, Anglais
  • Résumé court Luc Bourdon plonge dans le réservoir à images de plus de 2000 films des années 70, et dans leur bouillonnement révolutionnaire, culturel et politique, de René Lévesque à Pauline Julien.
  • Mention festival Prix Luc‑Perreault/AQCC du meilleur film québécois 2018
  • Programmateur Gabrielle Ouimet|aucune;
  • Ordre 1

Embrasser tout un pays à travers les milliers d'heures d'archives de l'Office national du film du Canada, l'ambition peut sembler folle. C'est pourtant le pari fait par Luc Bourdon. Après l'exploration des années 50 dans La Mémoire des anges en 2008, le réalisateur québécois nous plonge cette fois dans la décennie 70, un tournant tant dans les mœurs que dans les luttes politiques des Québécois.e.s. D'un mariage autochtone aux appels à des actions terroristes, d'un forage dans le Grand Nord à un match de hockey de la Coupe Stanley, le film tire sa force de la juxtaposition de la petite et de la grande histoire. À travers les coiffures, les tenues et la musique populaire, nous assistons aux bouleversements d'une époque. Une façon unique de découvrir les racines et surtout la psyché de la nation québécoise actuelle.

 

 

Éva Tourrent
Réalisatrice et responsable artistique de Tënk France

 

 


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    Langue : Français
  • EN - La part du diable

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    Langue : English
  • Année 2017
  • Pays Québec
  • Durée 103
  • Producteur ONF / NFB
  • Langue Français, Anglais
  • Sous-titres Français, Anglais
  • Résumé court Luc Bourdon plonge dans le réservoir à images de plus de 2000 films des années 70, et dans leur bouillonnement révolutionnaire, culturel et politique, de René Lévesque à Pauline Julien.
  • Mention festival Prix Luc‑Perreault/AQCC du meilleur film québécois 2018
  • Programmateur Gabrielle Ouimet|aucune;
  • Ordre 1

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