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Leonard Cohen: Bird on a Wire


Image de couverture Leonard Cohen: Bird on a Wire

Au printemps 1972, alors que la Columbia menace de ne pas reconduire son contrat, Leonard Cohen part sur les routes d'Europe pour une tournée de la dernière chance. Tony Palmer est mandaté par le gérant du chanteur pour tirer un film de ce voyage de Dublin à Jérusalem. Il filme Leonard Cohen à son plus haut point d'incandescence. Un exceptionnel document exhumé par chance, après trente-cinq années passées dans des cartons humides.

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Réalisateur

Tony Palmer

Acteur

Jean-Philippe Desrochers

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Pendant le tournage de "Bird on a Wire", Leonard Cohen a 37 ans. Son plus récent album, "Songs of Love and Hate", est un échec commercial. En plein tumulte du début des années 1970, Tony Palmer le suit en tournée. Disposant de moyens limités, le cinéaste le filme, caméra à l’épaule, en prestation sur scène, en coulisses, récitant ses derniers poèmes. Influencé par l’incontournable "Don’t Look Back" (1967) que D.A. Pennebaker consacre à Bob Dylan, "Bird on a Wire" montre comme jamais auparavant un musicien aussi bien dans ses moments de grâce que dans sa fragilité désarmante : problèmes de son récurrents sur scène, perte de confiance, incapacité à finir une prestation, hostilité de spectateurs envers lui et son groupe. Témoignage exceptionnel de son époque, le film brosse un portrait d’une bouleversante justesse de l’éternel « perdant magnifique » qu’aura toujours été Cohen.

 

Jean-Philippe Desrochers
Critique

 

  • Année 1972
  • Pays Royaume-Uni
  • Durée 106
  • Producteur Tony Palmer, The Machat Company
  • Langue Anglais
  • Sous-titres Français
  • Résumé court La tournée mouvementée du chanteur et poète Leonard Cohen en 1972, à travers l'Europe et Israël.
  • Compositeur Leonard Cohen
  • Programmateur Jean-Philippe Desrochers|Critique;

Pendant le tournage de "Bird on a Wire", Leonard Cohen a 37 ans. Son plus récent album, "Songs of Love and Hate", est un échec commercial. En plein tumulte du début des années 1970, Tony Palmer le suit en tournée. Disposant de moyens limités, le cinéaste le filme, caméra à l’épaule, en prestation sur scène, en coulisses, récitant ses derniers poèmes. Influencé par l’incontournable "Don’t Look Back" (1967) que D.A. Pennebaker consacre à Bob Dylan, "Bird on a Wire" montre comme jamais auparavant un musicien aussi bien dans ses moments de grâce que dans sa fragilité désarmante : problèmes de son récurrents sur scène, perte de confiance, incapacité à finir une prestation, hostilité de spectateurs envers lui et son groupe. Témoignage exceptionnel de son époque, le film brosse un portrait d’une bouleversante justesse de l’éternel « perdant magnifique » qu’aura toujours été Cohen.

 

Jean-Philippe Desrochers
Critique

 

  • Année 1972
  • Pays Royaume-Uni
  • Durée 106
  • Producteur Tony Palmer, The Machat Company
  • Langue Anglais
  • Sous-titres Français
  • Résumé court La tournée mouvementée du chanteur et poète Leonard Cohen en 1972, à travers l'Europe et Israël.
  • Compositeur Leonard Cohen
  • Programmateur Jean-Philippe Desrochers|Critique;

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