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Liberty Street Blues


Image de couverture Liberty Street Blues

Les multiples facettes du jazz de la Nouvelle-Orléans. À travers ses danseurs et ses musiciens de rue, ses fêtes et ses traditions, découvrez cette ville, vivant au son de courants musicaux qui sont encore aujourd'hui l'expression des valeurs et de l'identité du peuple noir.

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Réalisateur

André Gladu

Acteur

Jean-Philippe Desrochers

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Dans *Liberty Street Blues*, André Gladu poursuit sa quête des musiques et des sons du continent nord-américain. Dès les premières minutes du film, la voix off établit un parallèle entre La Nouvelle-Orléans et Montréal, couvrant ainsi le territoire, du nord au sud, qu'a toujours sondé le cinéaste dans sa filmographie. Dans les rues de cette grande ville louisianaise, Gladu et son équipe vont à l'écoute du jazz et du blues de ses quartiers noirs, saisissant avec brio l'état des lieux et l'ambiance festive et carnavalesque des parades musicales. En plus de filmer des musiciens professionnels, ils s'attardent aussi aux gens de la rue et à des vendeurs ambulants du vieux marché français. Que l'on soit au Québec ou en Louisiane, peu importe la couleur de la peau ou la langue que l'on parle, la musique, qu'il s'agisse de reels traditionnels ou de jazz, bâtit des solidarités et abolit les frontières et les distinctions entre les individus et les peuples. Elle nous ramène à ce qu'il y a de plus profondément humain et essentiel en nous. Voilà une des grandes leçons que l'on puisse tirer de l'oeuvre d'André Gladu.

 

 

Jean-Philippe Desrochers
Critique

 

 

  • Année 1988
  • Pays Québec
  • Durée 77
  • Producteur ONF / NFB
  • Langue Anglais, Français
  • Sous-titres Français
  • Résumé court Les multiples facettes du jazz de la Nouvelle-Orléans, à travers ses danseurs, ses musiciens de rue, ses fêtes et ses traditions.
  • Programmateur Jean-Philippe Desrochers|Critique;

Dans *Liberty Street Blues*, André Gladu poursuit sa quête des musiques et des sons du continent nord-américain. Dès les premières minutes du film, la voix off établit un parallèle entre La Nouvelle-Orléans et Montréal, couvrant ainsi le territoire, du nord au sud, qu'a toujours sondé le cinéaste dans sa filmographie. Dans les rues de cette grande ville louisianaise, Gladu et son équipe vont à l'écoute du jazz et du blues de ses quartiers noirs, saisissant avec brio l'état des lieux et l'ambiance festive et carnavalesque des parades musicales. En plus de filmer des musiciens professionnels, ils s'attardent aussi aux gens de la rue et à des vendeurs ambulants du vieux marché français. Que l'on soit au Québec ou en Louisiane, peu importe la couleur de la peau ou la langue que l'on parle, la musique, qu'il s'agisse de reels traditionnels ou de jazz, bâtit des solidarités et abolit les frontières et les distinctions entre les individus et les peuples. Elle nous ramène à ce qu'il y a de plus profondément humain et essentiel en nous. Voilà une des grandes leçons que l'on puisse tirer de l'oeuvre d'André Gladu.

 

 

Jean-Philippe Desrochers
Critique

 

 

  • Année 1988
  • Pays Québec
  • Durée 77
  • Producteur ONF / NFB
  • Langue Anglais, Français
  • Sous-titres Français
  • Résumé court Les multiples facettes du jazz de la Nouvelle-Orléans, à travers ses danseurs, ses musiciens de rue, ses fêtes et ses traditions.
  • Programmateur Jean-Philippe Desrochers|Critique;

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