Deborah Stratman est une cinéaste basée à Chicago active depuis les années 1990. Artiste pluridisciplinaire, elle a réalisé près d’une quarantaine d’œuvres interrogeant les codes sociaux à l’aide de dispositifs cinématographiques non conventionnels. Elle réfléchit de manière transversale à l’histoire, aux mythologies, aux sciences, aux technologies et aux mécanismes de sécurité et de surveillance.
Entre l’essai documentaire et le cinéma expérimental, les œuvres filmiques de Straman exposent des recherches denses et fonctionnent par libre-association. En résultent des objets poétiques et libres, non dénués d’un rapport systématiquement politique au réel.
Le travail de Deborah Stratman a été présenté à l’échelle internationale dans des lieux prestigieux tels que la Biennale du Whitney, le MOMA et le Centre Georges-Pompidou. Ses films ont également été largement diffusés dans la plupart des grands festivals internationaux. Elle est est actuellement professeure agrégée à la School of Art & Art History de l’Université de l’Illinois à Chicago.
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_The Illinois Parables_ est un portrait impressionniste de l’état de l’Illinois, parfois qualifié de version miniature des États-Unis, retraçant en 11 paraboles son histoire résolument hétéroclite, du 7e au 20e siècle.
L'évolution et l'extinction racontées à partir du point de vue minéral. La géo-biosphère est présentée comme un lieu de possibilité d'évolution, où les humains disparaissent mais où la vie perdure.
Un regard cru sur la façon dont la vie privée, la sécurité, le confort et la surveillance conditionnent notre environnement. Tourné entièrement de nuit, le film confronte la nature hermétique de la classe moyenne, disséquant la peur derrière le design contemporain des banlieues. En examinant des paysages évacués, le film révèle un vide particulier du 21e siècle ; un vide issu de notre foi colle...
_The Illinois Parables_ est un portrait impressionniste de l’état de l’Illinois, parfois qualifié de version miniature des États-Unis, retraçant en 11 paraboles son histoire résolument hétéroclite, du 7e au 20e siècle.
L'évolution et l'extinction racontées à partir du point de vue minéral. La géo-biosphère est présentée comme un lieu de possibilité d'évolution, où les humains disparaissent mais où la vie perdure.
Un regard cru sur la façon dont la vie privée, la sécurité, le confort et la surveillance conditionnent notre environnement. Tourné entièrement de nuit, le film confronte la nature hermétique de la classe moyenne, disséquant la peur derrière le design contemporain des banlieues. En examinant des paysages évacués, le film révèle un vide particulier du 21e siècle ; un vide issu de notre foi colle...