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Six fois deux, sur et sous la communication - Épisode 2b : Jean-Luc


Image de couverture Six fois deux, sur et sous la communication - Épisode 2b : Jean-Luc

Face caméra, Godard discute avec un journaliste de _Libération_ (hors-champ, de dos) à propos du travail, du cinéma, de la télévision. Des textes défilent sur l'écran. Peu à peu, Godard tente d'expliquer ce qu'il cherche à dire en réalisant cette série et d'en définir les limites.


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Réalisateurs

Anne-Marie MiévilleJean-Luc Godard

Acteur

Naomie Décarie-Daigneault

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Il y a plusieurs « Godard » qui se bousculent dans cet épisode de Six fois deux. Celui qui a toujours existé, intervenant à l’intérieur de ses propres films, les déconstruisant, les mettant en crise par des mises en abyme vertigineuses. Celui des années 1970, qui travaille à deux, avec Anne-Marie Miéville, et qui accepte de parler avec; qui accepte et intègre la contradiction. C’est celui qui fit écrire à Gilles Deleuze : « Godard n’est pas un dialecticien. Ce qui compte chez lui, ce n’est pas 2 ou 3, ou n’importe combien, c’est ET. » Celui des années 1980, chantre du happening, dynamiteur des dispositifs télévisuels et médiatiques. Quand on a écrit cela en tentant cette périodisation, on se rend surtout compte combien ces Godard ne font qu’un seul : cet être toujours dans la recherche, l’invention, pour qui rien n’est pré-pensé – prêt à penser –, pour qui le langage est une perpétuelle création. 

 

 

Arnaud Hée
Programmateur, enseignant et critique

 

 


  • Français

    Français

    48 mn

    Langue : Français
  • Année 1976
  • Pays France
  • Durée 48
  • Producteur INA, Sonimage
  • Langue Français
  • Résumé court Face caméra, Godard discute avec un journaliste à propos du travail, du cinéma et de la télévision.

Il y a plusieurs « Godard » qui se bousculent dans cet épisode de Six fois deux. Celui qui a toujours existé, intervenant à l’intérieur de ses propres films, les déconstruisant, les mettant en crise par des mises en abyme vertigineuses. Celui des années 1970, qui travaille à deux, avec Anne-Marie Miéville, et qui accepte de parler avec; qui accepte et intègre la contradiction. C’est celui qui fit écrire à Gilles Deleuze : « Godard n’est pas un dialecticien. Ce qui compte chez lui, ce n’est pas 2 ou 3, ou n’importe combien, c’est ET. » Celui des années 1980, chantre du happening, dynamiteur des dispositifs télévisuels et médiatiques. Quand on a écrit cela en tentant cette périodisation, on se rend surtout compte combien ces Godard ne font qu’un seul : cet être toujours dans la recherche, l’invention, pour qui rien n’est pré-pensé – prêt à penser –, pour qui le langage est une perpétuelle création. 

 

 

Arnaud Hée
Programmateur, enseignant et critique

 

 


  • Français

    Français


    Durée : 48 minutes
    Langue : Français
    48 mn
  • Année 1976
  • Pays France
  • Durée 48
  • Producteur INA, Sonimage
  • Langue Français
  • Résumé court Face caméra, Godard discute avec un journaliste à propos du travail, du cinéma et de la télévision.

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