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All That Passes By Through a Window That Doesn't Open


Image de couverture All That Passes By Through a Window That Doesn't Open

Alors que l'on tente de faire renaître une nouvelle « Route de la soie » entre l'Europe et l'Asie, des Azerbaïdjanais travaillent à la construction d'un nouveau chemin de fer qui promet d'apporter la gloire à une nouvelle génération. De l'autre côté des frontières fermées de l'Arménie, un chef de gare solitaire attend depuis 25 ans le retour des trains. Ce film est un voyage en train où les hommes réfléchissent à leurs désirs et à leurs regrets, flottant à travers l'étendue eurasienne tout en s'efforçant de combler leurs journées et leurs rêves, autant que de remplir leurs poches.



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Martin DiCicco

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Prenant place dans le Caucase du Sud, le premier long métrage de Martin DiCicco, All that Passes By Through a Window That Doesn't Open, est une exploration visuellement stupéfiante du chemin de fer Bakou-Tbilissi-Kars, souvent appelé la « Route de la soie du fer ». Ce projet ambitieux visait à établir une route commerciale plus rapide entre l'Asie et l'Europe, traversant l'Azerbaïdjan, la Géorgie et la Turquie, tout en contournant les voies existantes en Arménie en raison de l'éruption du conflit du Haut-Karabagh après l'effondrement de l'Union soviétique. Le documentaire de DiCicco, un voyage en train, témoigne magnifiquement de la géographie unique de la région, symbolisant à la fois l'opportunité et la douleur alimentées par le conflit territorial entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie. Tourné sur une période de six ans, le film dresse le portrait de ceux qui bénéficient du progrès économique et ceux qui demeurent de simples observateurs de la stagnation. Alors que le film se déplace à travers cet espace immense, nous voyons des travailleurs poser inlassablement des rails et des chefs de gare en contemplation solitaire, chacun luttant pour concilier ses rêves avec les contraintes de la vie et l'espoir d'un lendemain meilleur. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une exploration directe du conflit régional, le film encourage efficacement les spectateur·trice·s à réfléchir à l'histoire cachée et aux divisions entre le passé et le présent. Les récits en voix off des travailleurs des deux camps mettent en évidence ces ruptures sociopolitiques, tandis que les vastes compositions et les introspections soulignent les déconnexions profondes qui existent en ces terres.

 

Marlene Edoyan
Cinéaste et programmatrice


  • Français

    Français

    1h09

    Langue : Français
    Sous-titres : Français
  • English

    English

    1h09

    Langue : English
  • Année 2017
  • Pays États-Unis, Quatar
  • Durée 69
  • Producteur Production Aesthetics
  • Langue Anglais, Arménien, Azerbaïdjanais, Russe
  • Sous-titres Français, Anglais
  • Résumé court Incursion dans la vie des travailleurs qui ont construit le chemin de fer Bakou-Tbilissi-Kars, entre opportunités et regrets.
  • Mention festival Prix Regard Neuf - Visions du Réel
2017
  • Ordre 3

Prenant place dans le Caucase du Sud, le premier long métrage de Martin DiCicco, All that Passes By Through a Window That Doesn't Open, est une exploration visuellement stupéfiante du chemin de fer Bakou-Tbilissi-Kars, souvent appelé la « Route de la soie du fer ». Ce projet ambitieux visait à établir une route commerciale plus rapide entre l'Asie et l'Europe, traversant l'Azerbaïdjan, la Géorgie et la Turquie, tout en contournant les voies existantes en Arménie en raison de l'éruption du conflit du Haut-Karabagh après l'effondrement de l'Union soviétique. Le documentaire de DiCicco, un voyage en train, témoigne magnifiquement de la géographie unique de la région, symbolisant à la fois l'opportunité et la douleur alimentées par le conflit territorial entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie. Tourné sur une période de six ans, le film dresse le portrait de ceux qui bénéficient du progrès économique et ceux qui demeurent de simples observateurs de la stagnation. Alors que le film se déplace à travers cet espace immense, nous voyons des travailleurs poser inlassablement des rails et des chefs de gare en contemplation solitaire, chacun luttant pour concilier ses rêves avec les contraintes de la vie et l'espoir d'un lendemain meilleur. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une exploration directe du conflit régional, le film encourage efficacement les spectateur·trice·s à réfléchir à l'histoire cachée et aux divisions entre le passé et le présent. Les récits en voix off des travailleurs des deux camps mettent en évidence ces ruptures sociopolitiques, tandis que les vastes compositions et les introspections soulignent les déconnexions profondes qui existent en ces terres.

 

Marlene Edoyan
Cinéaste et programmatrice


  • Français

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    Durée : 1h09
    Langue : Français
    Sous-titres : Français
    1h09
  • English

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    Durée : 1h09
    Langue : English
    1h09
  • Année 2017
  • Pays États-Unis, Quatar
  • Durée 69
  • Producteur Production Aesthetics
  • Langue Anglais, Arménien, Azerbaïdjanais, Russe
  • Sous-titres Français, Anglais
  • Résumé court Incursion dans la vie des travailleurs qui ont construit le chemin de fer Bakou-Tbilissi-Kars, entre opportunités et regrets.
  • Mention festival Prix Regard Neuf - Visions du Réel
2017
  • Ordre 3

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