Des voix lointaines et rapprochées se mêlent pour créer une exploration stratifiée des souvenirs familiaux : la pluie à Oakland, la maison de ma grand-mère à Bagdad, les voix de mes tantes dans What's App, ma fille qui apprend à compter jusqu'à 10, mon frère qui joue de la darbuka, les cigales au Texas, les murs de mon atelier, la recherche de nouvelles formes.
Réalisateur | Nadia Shihab |
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On a beau essayer de la cerner, la mémoire se faufile dans les méandres du temps. Pendant des décennies, le cinéma a fourni moyens et méthodes pour se souvenir; les cinéastes se sont attaqués à la mémoire personnelle, historique et mythique afin d'atteindre une compréhension plus profonde. La façon dont nous nous souvenons, individuellement et collectivement, est étroitement liée à la prétendue vérité des archives, qu'il s'agisse d'une boîte de photos trouvée dans le grenier d'un membre de sa famille, d'un fragment de microfiche dans une bibliothèque ou d'une série de lettres déterrées et lues pour la première fois depuis des dizaines d'années. Dans Echolocation, ces archives sont personnelles et courageusement vulnérables.
« La pluie à Oakland, la maison de ma grand-mère à Bagdad, les voix de mes tantes dans What's App, ma fille qui apprend à compter jusqu'à 10, mon frère qui joue de la darbouka, les cigales au Texas, les murs de mon studio, la recherche de nouvelles formes. » La cinéaste Nadia Shihab organise ces éléments de sa vie et de sa (ses) maison(s) de manière poétique, cherchant à mieux comprendre sa lignée et ses effets dans le présent. Shihab montre ce que signifie de s'engager dans des archives personnelles de manière étendue et générative — pour permettre une meilleure connaissance de nous-mêmes alors que nous nous projetons dans l'avenir, continuellement en mouvement avec les matériaux de notre passé.
Sarah Bakke
Directrice du développement et des programmes spéciaux
DOXA Documentary Film Festival
On a beau essayer de la cerner, la mémoire se faufile dans les méandres du temps. Pendant des décennies, le cinéma a fourni moyens et méthodes pour se souvenir; les cinéastes se sont attaqués à la mémoire personnelle, historique et mythique afin d'atteindre une compréhension plus profonde. La façon dont nous nous souvenons, individuellement et collectivement, est étroitement liée à la prétendue vérité des archives, qu'il s'agisse d'une boîte de photos trouvée dans le grenier d'un membre de sa famille, d'un fragment de microfiche dans une bibliothèque ou d'une série de lettres déterrées et lues pour la première fois depuis des dizaines d'années. Dans Echolocation, ces archives sont personnelles et courageusement vulnérables.
« La pluie à Oakland, la maison de ma grand-mère à Bagdad, les voix de mes tantes dans What's App, ma fille qui apprend à compter jusqu'à 10, mon frère qui joue de la darbouka, les cigales au Texas, les murs de mon studio, la recherche de nouvelles formes. » La cinéaste Nadia Shihab organise ces éléments de sa vie et de sa (ses) maison(s) de manière poétique, cherchant à mieux comprendre sa lignée et ses effets dans le présent. Shihab montre ce que signifie de s'engager dans des archives personnelles de manière étendue et générative — pour permettre une meilleure connaissance de nous-mêmes alors que nous nous projetons dans l'avenir, continuellement en mouvement avec les matériaux de notre passé.
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