D'un coup de pinceau


Image de couverture D'un coup de pinceau

Pendant qu'elle prépare une exposition d'envergure, la peintre Francine Simonin accepte de laisser la caméra la surprendre au travail avec ses modèles. Elle s'exprime sur les thèmes qui la préoccupent : la Femme et les femmes, l'origine, la fécondité, la beauté, la transgression... Autour d'un point central, la création, un portrait de cette femme qui a fait du corps féminin sa source d'inspiration fondamentale.


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D’un coup de pinceau, c’est une immersion dans l’acte même de créer, une rencontre intime avec la peintre Francine Simonin et son rapport à la fois charnel et violent à la toile. À travers ce film, on ne suit pas seulement une artiste dans son processus de création, mais une femme qui sublime son art et le transcende. Dans ce huis clos, nous sommes happé·e·s par l’atmosphère de l’atelier. Le bruit des pinceaux frottant la surface, la gestuelle assurée de Simonin, la parole aiguisée et la manière dont elle interagit avec ses modèles. Elle peint des corps féminins, non pas pour les figer dans une beauté idéalisée, mais pour en capturer l’énergie et le mouvement dans une dimension presque viscérale; une façon d’appréhender le féminin qui bouscule les conventions et repousse les limites. Monique Crouillère, en tant que réalisatrice, adopte une posture de témoin attentif. Sa caméra ne se contente pas d’observer : elle circule, accompagne, et épouse le geste de l’artiste. C’est un film qui donne l’impulsion de créer, de laisser s’exprimer un art immédiat et sensible.

 

 

Julia Minne
Doctorante et programmatrice

 

 


  • Français

    Français

    39 mn

    Langue : Français
  • Année 1988
  • Pays Québec
  • Durée 39
  • Producteur ONF / NFB
  • Langue Français
  • Résumé court La peintre Francine Simonin au travail. Un portrait de cette femme qui a fait du corps féminin son inspiration fondamentale.

D’un coup de pinceau, c’est une immersion dans l’acte même de créer, une rencontre intime avec la peintre Francine Simonin et son rapport à la fois charnel et violent à la toile. À travers ce film, on ne suit pas seulement une artiste dans son processus de création, mais une femme qui sublime son art et le transcende. Dans ce huis clos, nous sommes happé·e·s par l’atmosphère de l’atelier. Le bruit des pinceaux frottant la surface, la gestuelle assurée de Simonin, la parole aiguisée et la manière dont elle interagit avec ses modèles. Elle peint des corps féminins, non pas pour les figer dans une beauté idéalisée, mais pour en capturer l’énergie et le mouvement dans une dimension presque viscérale; une façon d’appréhender le féminin qui bouscule les conventions et repousse les limites. Monique Crouillère, en tant que réalisatrice, adopte une posture de témoin attentif. Sa caméra ne se contente pas d’observer : elle circule, accompagne, et épouse le geste de l’artiste. C’est un film qui donne l’impulsion de créer, de laisser s’exprimer un art immédiat et sensible.

 

 

Julia Minne
Doctorante et programmatrice

 

 


  • Français

    Français


    Durée : 39 minutes
    Langue : Français
    39 mn
  • Année 1988
  • Pays Québec
  • Durée 39
  • Producteur ONF / NFB
  • Langue Français
  • Résumé court La peintre Francine Simonin au travail. Un portrait de cette femme qui a fait du corps féminin son inspiration fondamentale.

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