Pendant qu'elle prépare une exposition d'envergure, la peintre Francine Simonin accepte de laisser la caméra la surprendre au travail avec ses modèles. Elle s'exprime sur les thèmes qui la préoccupent : la Femme et les femmes, l'origine, la fécondité, la beauté, la transgression... Autour d'un point central, la création, un portrait de cette femme qui a fait du corps féminin sa source d'inspiration fondamentale.
Réalisateurs | Monique Crouillère, Monique Crouillère |
Acteurs | L'équipe de Tënk, L'équipe de Tënk |
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D’un coup de pinceau, c’est une immersion dans l’acte même de créer, une rencontre intime avec la peintre Francine Simonin et son rapport à la fois charnel et violent à la toile. À travers ce film, on ne suit pas seulement une artiste dans son processus de création, mais une femme qui sublime son art et le transcende. Dans ce huis clos, nous sommes happé·e·s par l’atmosphère de l’atelier. Le bruit des pinceaux frottant la surface, la gestuelle assurée de Simonin, la parole aiguisée et la manière dont elle interagit avec ses modèles. Elle peint des corps féminins, non pas pour les figer dans une beauté idéalisée, mais pour en capturer l’énergie et le mouvement dans une dimension presque viscérale; une façon d’appréhender le féminin qui bouscule les conventions et repousse les limites. Monique Crouillère, en tant que réalisatrice, adopte une posture de témoin attentif. Sa caméra ne se contente pas d’observer : elle circule, accompagne, et épouse le geste de l’artiste. C’est un film qui donne l’impulsion de créer, de laisser s’exprimer un art immédiat et sensible.
Julia Minne
Doctorante et programmatrice
D’un coup de pinceau, c’est une immersion dans l’acte même de créer, une rencontre intime avec la peintre Francine Simonin et son rapport à la fois charnel et violent à la toile. À travers ce film, on ne suit pas seulement une artiste dans son processus de création, mais une femme qui sublime son art et le transcende. Dans ce huis clos, nous sommes happé·e·s par l’atmosphère de l’atelier. Le bruit des pinceaux frottant la surface, la gestuelle assurée de Simonin, la parole aiguisée et la manière dont elle interagit avec ses modèles. Elle peint des corps féminins, non pas pour les figer dans une beauté idéalisée, mais pour en capturer l’énergie et le mouvement dans une dimension presque viscérale; une façon d’appréhender le féminin qui bouscule les conventions et repousse les limites. Monique Crouillère, en tant que réalisatrice, adopte une posture de témoin attentif. Sa caméra ne se contente pas d’observer : elle circule, accompagne, et épouse le geste de l’artiste. C’est un film qui donne l’impulsion de créer, de laisser s’exprimer un art immédiat et sensible.
Julia Minne
Doctorante et programmatrice
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