Réalisatrice, universitaire, activiste, Amandine Gay partage son temps entre recherche et création. Pour elle, la réappropriation de la narration est un acte d’émancipation. Après Ouvrir la voix, son premier film qui donne la parole à 24 femmes afrodescendantes francophones, elle réalise un second documentaire, Une histoire à soi, consacré à l'adoption internationale du point de vue de cinq personnes adoptées, aujourd’hui adultes. Amandine Gay intervient régulièrement comme conférencière à propos de l’afroféminisme, de l’intersectionnalité ou de l’adoption. En 2015, elle signe la préface de la première traduction française du classique de bell hooks, Ne suis-je pas une femme?. On la retrouve également comme auteure dans plusieurs ouvrages collectifs. En 2018, elle fonde le « Mois des Adopté·es », une série d’événements se déroulant tous les ans au mois de novembre entre la France, la Suisse, la Belgique et le Québec afin de permettre aux personnes adoptées de se réapproprier leur histoire. En 2021, elle décide de se raconter dans un essai autobiographique sur l’adoption, Une poupée en chocolat, publié aux éditions La Découverte (France) et Remue-Ménage (Québec). En 2025, elle réalise sa première série documentaire, Ballroom, une immersion dans la communauté LGBTQIA+ et racisée du Grand Paris, réunie autour de la culture ballroom.
Iels s’appellent Anne-Charlotte, Joohee, Céline, Niyongira et Mathieu. Iels ont entre 25 et 52 ans, et sont originaires du Brésil, du Sri Lanka, du Rwanda, de Corée du Sud ou encore d’Australie. Ces cinq personnes partagent une identité : celle de personnes adoptées. Séparé·e·s dès l’enfance de leurs familles et pays d’origine, iels ont grandi dans des familles françaises. Leurs récits de vie e...
Ce film est un documentaire sur les femmes noires issues de l'histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. Le film est centré sur l'expérience de la différence en tant que femme noire et des clichés spécifiques liés à ces deux dimensions indissociables de l'identité femme et noire. Il y est notamment question des intersections de discriminations, d'art, de la pluralité des parcours...
Iels s’appellent Anne-Charlotte, Joohee, Céline, Niyongira et Mathieu. Iels ont entre 25 et 52 ans, et sont originaires du Brésil, du Sri Lanka, du Rwanda, de Corée du Sud ou encore d’Australie. Ces cinq personnes partagent une identité : celle de personnes adoptées. Séparé·e·s dès l’enfance de leurs familles et pays d’origine, iels ont grandi dans des familles françaises. Leurs récits de vie e...
Ce film est un documentaire sur les femmes noires issues de l'histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. Le film est centré sur l'expérience de la différence en tant que femme noire et des clichés spécifiques liés à ces deux dimensions indissociables de l'identité femme et noire. Il y est notamment question des intersections de discriminations, d'art, de la pluralité des parcours...