André Melançon naît en 1942 et grandit dans sa ville natale de Rouyn-Noranda, en Abitibi-Témiscamingue. Il devient psycho-éducateur avant de travailler au Conseil québécois pour la diffusion du cinéma. En 1970, il entreprend son premier film, un documentaire sur le felquiste Charles Gagnon avant de tourner, en 1973, trois courts métrages centrés sur des enfants : « Les Oreilles » mène l’enquête, Les tacots et Le violon de Gaston. L’enfance est aussi au cœur de ses deux premiers longs-métrages : la comédie Comme les six doigts de la main et le documentaire Les vrais perdants. Au début des années 1980, le producteur Rock Demers entreprend la production des_ Contes pour tous _et André Melançon en réalise le premier de la série, _La guerre des tuques, _avant d'en réaliser trois autres : Bach et bottine en 1986, Fierro... L’été des secrets en 1991 et Daniel et les Superdogs en 2004. En plus d’être cinéaste, Melançon a joué dans une vingtaine de films, notamment sous la direction de Clément Perron (Taureau, Partis pour la gloire) et de Denys Arcand (Réjeanne Padovani, Joyeux Calvaire). Son dernier film, Les trains de la vie, est présenté en 2013. La même année, il reçoit l’insigne d’Officier de l’Ordre national du Québec.
Ce long métrage documentaire pose le problème de l'éducation de l'enfant dans notre société de compétition. Tout en aidant l'enfant à développer ses talents, en l'encourageant dans ses passions, qu'il s'agisse de hockey, de gymnastique ou de piano, les parents et les entraîneurs cherchent, plus ou moins consciemment, à leur faire vivre par procuration leur propre besoin de compétition et leurs ...
Ce long métrage documentaire pose le problème de l'éducation de l'enfant dans notre société de compétition. Tout en aidant l'enfant à développer ses talents, en l'encourageant dans ses passions, qu'il s'agisse de hockey, de gymnastique ou de piano, les parents et les entraîneurs cherchent, plus ou moins consciemment, à leur faire vivre par procuration leur propre besoin de compétition et leurs ...