Françoise Dugré vit au Bic, dans le Bas-Saint-Laurent, et se consacre aux arts médiatiques depuis près de 40 ans. Elle possède une formation universitaire en cinéma et en histoire de l’art. Au cours de sa carrière, elle a fait partie de plusieurs organismes : Vidéo Femmes, Vidéographe et la Coop Vidéo de Montréal, en plus de co-fonder Paraloeil, cinéma et centre de production établi à Rimouski. En début de parcours, elle a travaillé sur des fictions comme scripte et assistante à la réalisation puis comme recherchiste et assistante réalisatrice en documentaire. Elle a également été recherchiste et commissaire en art vidéo pour plusieurs musées et galeries, en plus de réaliser des installations vidéo. Françoise Dugré a aussi enseigné le cinéma au Cégep de Rimouski et, pendant dix ans, le documentaire à l’École des métiers du cinéma et de la vidéo au Cégep de Rivière-du-Loup. Elle est une touche-à-tout et s’implique socialement, se passionnant pour les affaires régionales et communautaires et s’intéressant aux arts visuels, à la science et au patrimoine. Elle a réalisé plusieurs documentaires sur l’art (Traces, Métal, La cité renversée, Sullivan, Interscop, Art et Nature)_, _de courtes bandes vidéo, deux films co-réalisées avec Johanne Fournier (C’est une bonne journée et Le sourire d’une parfumeuse) ainsi que des documentaires (On a not’quota, Saint Gabriel de force, Une pointe d’histoire, Anicinabe, La chasse aux papillons, Ballast balade pour dinoflagellés). Elle poursuit aujourd'hui sa pratique documentaire.
Un court récit déconstruit sur la dépression et la santé mentale d’une femme qui boit.
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