Lina Soualem est une réalisatrice et comédienne née et basée à Paris. Après des études d’histoire et de sciences politiques à la Sorbonne, elle débute dans le journalisme pour finalement se diriger vers le cinéma, cherchant à combiner ses intérêts pour le septième art et l’étude des sociétés arabes contemporaines. Elle a notamment travaillé en tant que programmatrice pour le Festival International de Cinéma des Droits de l’Homme de Buenos Aires en Argentine et le festival Palest’In & Out à Paris. Son premier long métrage documentaire Leur Algérie a été sélectionné en première mondiale à Visions du Réel 2020 et a obtenu des prix dans de nombreux festivals. En tant que comédienne, Lina a joué dans les longs métrages des réalisatrices Hafsia Herzi, Hiam Abbass, Rayhana et Rima Samman. Aujourd’hui, elle développe son second projet de long métrage documentaire Bye Bye Tibériade et travaille en tant qu’autrice et coordinatrice d’écriture sur des projets de fictions et de documentaires.
Hiam Abbass a quitté son village palestinien pour poursuivre son rêve de devenir actrice en Europe, laissant derrière elle sa mère, sa grand-mère et ses sept sœurs. Trente ans plus tard, sa fille Lina, réalisatrice, retourne avec elle sur les traces des lieux disparus et des mémoires dispersées de quatre générations de femmes palestiniennes.
Après 62 ans de mariage, les grands-parents de Lina, Aïcha et Mabrouk, ont décidé de se séparer. Ensemble, ils étaient venus d’Algérie à Thiers, une petite ville médiévale au centre de la France, il y a plus de 60 ans. Côte à côte, ils avaient traversé cette vie chaotique d’immigré.e.s. Pour Lina, leur séparation est l’occasion de questionner leur long voyage d’exil et leur silence.
Hiam Abbass a quitté son village palestinien pour poursuivre son rêve de devenir actrice en Europe, laissant derrière elle sa mère, sa grand-mère et ses sept sœurs. Trente ans plus tard, sa fille Lina, réalisatrice, retourne avec elle sur les traces des lieux disparus et des mémoires dispersées de quatre générations de femmes palestiniennes.
Après 62 ans de mariage, les grands-parents de Lina, Aïcha et Mabrouk, ont décidé de se séparer. Ensemble, ils étaient venus d’Algérie à Thiers, une petite ville médiévale au centre de la France, il y a plus de 60 ans. Côte à côte, ils avaient traversé cette vie chaotique d’immigré.e.s. Pour Lina, leur séparation est l’occasion de questionner leur long voyage d’exil et leur silence.