Louise Vandelac est sociologue et professeure à l'UQAM. Au fil des ans, elle participe activement à plusieurs dossiers d'intérêt public des plus complexes et controversés et elle a une présence fréquente dans les médias en tant que témoin experte. Ses recherches portent spécifiquement sur le travail des femmes mais elle s'occupe également du dossier de privatisation des eaux au Québec. En 1972, elle publie avec Jean-Robert Sansfaçon Perspectives Jeunesse/Le programme cool d’un gouvernement too much qui présente une analyse critique des politiques jeunesse et des programmes communautaires fédéraux. En 1974, elle co-fonde avec quatre autres femmes le premier Centre de santé de femmes francophones à Montréal, qui formera, avec les Éditions du Remue Ménage, le Théâtre des cuisines et le Comité de lutte pour l’avortement, l’intergroupe féministe. Publiée en 1988, sa thèse de doctorat en sociologie intitulée L’infertilité et la stérilité : l’alibi des technologies de procréation informera ses recherches ultérieures sur les problèmes éthiques des nouvelles technologies de reproduction. Après deux séjours en Italie, où elle co-réalise la vidéo À notre santé, les Cahiers du GRIF en Belgique lui demandent de coordonner, en 1978, un numéro spécial sur le féminisme italien qui donne lieu à un livre construit à partir de témoignages: L’Italie au féminisme.
Ce vidéo s'intéresse à la 2e rencontre internationale des centres de santé pour femmes tenue à Rome en 1977. Contestant le pouvoir médical traditionnel et sa conception machiste de la médecine, les centres d'autosanté pour femmes font état de leurs recherches et de leur mise en application des pratiques alternatives.
Ce vidéo s'intéresse à la 2e rencontre internationale des centres de santé pour femmes tenue à Rome en 1977. Contestant le pouvoir médical traditionnel et sa conception machiste de la médecine, les centres d'autosanté pour femmes font état de leurs recherches et de leur mise en application des pratiques alternatives.