Steve Patry est un réalisateur documentaire dont les œuvres ont une profonde visée sociale et humaine. Après des études en cinéma, il participe à la fondation de l'organisme Funambules Médias au sein duquel il réalise plusieurs reportages à caractère sociopolitique. Fruit de trois ans de travail, son premier long métrage documentaire, De prisons en prisons (2014), reçoit une mention spéciale du jury aux RIDM et une nomination au Prix Jutra du meilleur long métrage documentaire. Nommé pour le meilleur long métrage documentaire aux Prix Écrans canadiens, son deuxième long métrage, Waseskun (2017), raconte le quotidien d’un établissement de détention alternatif pour hommes autochtones. Tant que j’ai du respir dans le corps (2020), son troisième long métrage, reçoit une nomination au Gala Québec Cinéma du meilleur long métrage documentaire. Son plus récent film, Des chats sauvages, verra le jour prochainement.
Tant que j'ai du respir dans le corps
Durée : 2h32Chaque jour, dans la salle de consultation, atterrissent les patient·e·s; des êtres brisés, malades et marqués par la vie. Devant eux est assise une personne investie qui tente, sans faux espoir, de réparer les corps et les psychés. La nuit, alors que les portes de la clinique sont closes, les intervenant·e·s de rue prennent d’assaut la métropole afin d’étendre leur soutien à ces infortuné·e·s ...
Une plongée au cœur de Waseskun, un établissement de réinsertion pour hommes autochtones au passé criminel. Un regard empathique dénué de naïveté qui décrit sans tabou la complexe reconstruction d’hommes en lutte contre eux-mêmes. À Waseskun, la guérison passe par la spiritualité et par une réappropriation de l’identité et de la culture ancestrale. Une chronique sensible à propos de rescapés de...
Tant que j'ai du respir dans le corps
Durée : 2h32Chaque jour, dans la salle de consultation, atterrissent les patient·e·s; des êtres brisés, malades et marqués par la vie. Devant eux est assise une personne investie qui tente, sans faux espoir, de réparer les corps et les psychés. La nuit, alors que les portes de la clinique sont closes, les intervenant·e·s de rue prennent d’assaut la métropole afin d’étendre leur soutien à ces infortuné·e·s ...
Une plongée au cœur de Waseskun, un établissement de réinsertion pour hommes autochtones au passé criminel. Un regard empathique dénué de naïveté qui décrit sans tabou la complexe reconstruction d’hommes en lutte contre eux-mêmes. À Waseskun, la guérison passe par la spiritualité et par une réappropriation de l’identité et de la culture ancestrale. Une chronique sensible à propos de rescapés de...