That Which Does Not Kill


Poster image That Which Does Not Kill

Belgian women and men of diverse backgrounds respond to the rape of a young woman by weaving their own personal experiences and reflections into her story, provoking the sort of collective introspection that Me Too has necessitated.


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Director

Alexe Poukine

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Sans frapper est aussi doux qu'un film sur le viol peut l'être. En faisant porter le récit et les mots d'Ada par le jeu de plusieurs personnes, Alexe Poukine arrive à nous faire supporter l'insupportable. Par une sorte de désincarnation d'Ada, qu'on ne voit jamais à l'écran, une brèche s'ouvre et crée juste assez d'espace pour qu'un dialogue avec nous-même et une réflexion profonde soient possibles.

 

Le viol n'est pas sordide. C'est même une agression que plusieurs pourraient considérer - à tort - comme malheureuse, mais banale. Et là réside la puissance évocatrice du film : nous confronter à nos propres préjugés et réflexes dans cette société malade. « Pourquoi est-ce qu'elle y retourne? » Devant l'incompréhensible comportement d'Ada, les femmes qui portent son témoignage se questionnent. Et sont amenées à faire le même chemin qu'Ada : « Non pas se demander ce qui n'allait pas chez elle, mais ce qui n'allait pas dans son comportement à lui. »

 

 

La frontière entre les témoignages propres aux femmes et celui d'Ada est ténue. Les blessures refont surface. Un récit personnel, porté en chœur par plusieurs femmes, pour mieux comprendre que cette histoire, c'est un peu notre histoire à toutes.

 

 

Un film sensible et nécessaire.

 

 

 

Florence Lamothe
Co-founder of Tënk.ca

 

 


  • FR - Sans frapper

    FR - Sans frapper


    Language: Français
  • Année 2019
  • Pays France, Belgium
  • Durée 84
  • Producteur Alter Ego Production, CVB (Centre Vidéo de Bruxelles)
  • Langue French
  • Résumé court Alexe Poukine tells the story of Ada, 19, brutally abused three times a few days apart by the same boy.

Sans frapper est aussi doux qu'un film sur le viol peut l'être. En faisant porter le récit et les mots d'Ada par le jeu de plusieurs personnes, Alexe Poukine arrive à nous faire supporter l'insupportable. Par une sorte de désincarnation d'Ada, qu'on ne voit jamais à l'écran, une brèche s'ouvre et crée juste assez d'espace pour qu'un dialogue avec nous-même et une réflexion profonde soient possibles.

 

Le viol n'est pas sordide. C'est même une agression que plusieurs pourraient considérer - à tort - comme malheureuse, mais banale. Et là réside la puissance évocatrice du film : nous confronter à nos propres préjugés et réflexes dans cette société malade. « Pourquoi est-ce qu'elle y retourne? » Devant l'incompréhensible comportement d'Ada, les femmes qui portent son témoignage se questionnent. Et sont amenées à faire le même chemin qu'Ada : « Non pas se demander ce qui n'allait pas chez elle, mais ce qui n'allait pas dans son comportement à lui. »

 

 

La frontière entre les témoignages propres aux femmes et celui d'Ada est ténue. Les blessures refont surface. Un récit personnel, porté en chœur par plusieurs femmes, pour mieux comprendre que cette histoire, c'est un peu notre histoire à toutes.

 

 

Un film sensible et nécessaire.

 

 

 

Florence Lamothe
Co-founder of Tënk.ca

 

 


  • FR - Sans frapper

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    Language: Français
  • Année 2019
  • Pays France, Belgium
  • Durée 84
  • Producteur Alter Ego Production, CVB (Centre Vidéo de Bruxelles)
  • Langue French
  • Résumé court Alexe Poukine tells the story of Ada, 19, brutally abused three times a few days apart by the same boy.

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