Sami Mermer est un réalisateur kurde originaire de la Turquie. D'abord directeur photo (Taxi Casablanca, Le concert des voix), il passe à la réalisation en 2006 avec La boîte de Lanzo, un long métrage documentaire sur les sans-abri aux États-Unis. Il réalise également Sortie et The Passenger, deux courts métrages de fiction, en plus d'être coscénariste et assistant-réalisateur du film Ax (The Land), lauréat de plusieurs prix. Il coréalise et coproduit avec la cinéaste Hind Benchekroun les films documentaires Les tortues ne meurent pas de vieillesse (2011), puis Callshop Istanbul (2016), ayant tous deux connu une large diffusion. Xalko (2018) est leur troisième coréalisation.
*Les tortues ne meurent pas de vieillesse* nous fait partager la vie de trois vieux hommes du nord du Maroc. À quatre-vingts ans ou presque, Chehma, un ancien maître pêcheur, Erradi, un aubergiste solitaire et Abdesslam, un musicien ambulant, travaillent toujours pour gagner leur vie. Ce long métrage nous plonge dans les univers riches et colorés de ces vieux, à la fois tristes et heureux. Les ...
Ce film raconte l’histoire de Xalko, le village natal du réalisateur Sami Mermer, l’un des rares villages kurdes situé au cœur de l’Anatolie centrale en Turquie. Aujourd’hui déserté par ses hommes qui ont tous émigré en Europe ou en Amérique, Xalko existe encore grâce à celles et ceux qui gardent le fort tout en espérant le retour de leurs maris et de leurs pères absents, qui parfois ne revienn...
*Les tortues ne meurent pas de vieillesse* nous fait partager la vie de trois vieux hommes du nord du Maroc. À quatre-vingts ans ou presque, Chehma, un ancien maître pêcheur, Erradi, un aubergiste solitaire et Abdesslam, un musicien ambulant, travaillent toujours pour gagner leur vie. Ce long métrage nous plonge dans les univers riches et colorés de ces vieux, à la fois tristes et heureux. Les ...
Ce film raconte l’histoire de Xalko, le village natal du réalisateur Sami Mermer, l’un des rares villages kurdes situé au cœur de l’Anatolie centrale en Turquie. Aujourd’hui déserté par ses hommes qui ont tous émigré en Europe ou en Amérique, Xalko existe encore grâce à celles et ceux qui gardent le fort tout en espérant le retour de leurs maris et de leurs pères absents, qui parfois ne revienn...