L'atelier de mon père


Image de couverture L'atelier de mon père

Ayant hérité du studio de son père après son décès, la cinéaste Jennifer Alleyn se retrouve dans l’espace encore imprégné de l’imaginaire de l’artiste. Telle une anthropologue, elle scrute le lieu et les oeuvres, cherchant au-delà de la mort à prolonger le dialogue, pour comprendre le parcours fascinant de ce libre-penseur ayant marqué l’histoire de l’art contemporain canadien.

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Réalisateur

Jennifer Alleyn

Acteur

Marie-Odile Demay

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J’ai vu L’atelier de mon père plusieurs fois avec émotion. L’impression qui m’en est restée a toujours été celle d’un dialogue intime et créatif entre les images du peintre Edmund Alleyn et celles de sa fille réalisatrice, Jennifer. En fait, pour moi qui aime le film sur l’art, ce film est une leçon de vie et de réalisation dans le genre. De vie, parce qu’il s’agit d’une rencontre sensible où la réalisatrice utilise sa caméra pour prendre acte du legs de son père artiste - atelier, maison, tableaux, photographies, écrits -, pour ensuite l'immortaliser sur pellicule. Et c’est là que la cinéaste entre dans sa liberté créative dans toute la délicatesse et la force de sa signature. Elle s’offre ici le plaisir d’animer l’eau fixe d’un tableau ; là, de filmer le lent mouvement de la porte moustiquaire battue par le vent ; ou encore, un cadrage fixe, comme un tableau d’Edmund Alleyn, sur un ensemble d'objets épars sur une table. Et ça devient évident, on reconnait la filiation artistique. Ce film est (aussi) de l’art.



Marie-Odile Demay
Productrice et conceptrice transmédia

  • Année 2008
  • Pays Québec
  • Durée 72
  • Producteur Amazone Film
  • Langue Français
  • Sous-titres Anglais
  • Résumé court Ayant hérité du studio de son père après son décès, la cinéaste revient sur le parcours de ce libre-penseur ayant marqué l’histoire de l’art.
  • Compositeur
  • Mention festival
  • Feministe equitable
  • Image revue
  • Description revue
  • Lien revue
  • Avertissement
  • Texte bouton revue
  • TLF_Applismb
  • Date édito 2025-09-15

J’ai vu L’atelier de mon père plusieurs fois avec émotion. L’impression qui m’en est restée a toujours été celle d’un dialogue intime et créatif entre les images du peintre Edmund Alleyn et celles de sa fille réalisatrice, Jennifer. En fait, pour moi qui aime le film sur l’art, ce film est une leçon de vie et de réalisation dans le genre. De vie, parce qu’il s’agit d’une rencontre sensible où la réalisatrice utilise sa caméra pour prendre acte du legs de son père artiste - atelier, maison, tableaux, photographies, écrits -, pour ensuite l'immortaliser sur pellicule. Et c’est là que la cinéaste entre dans sa liberté créative dans toute la délicatesse et la force de sa signature. Elle s’offre ici le plaisir d’animer l’eau fixe d’un tableau ; là, de filmer le lent mouvement de la porte moustiquaire battue par le vent ; ou encore, un cadrage fixe, comme un tableau d’Edmund Alleyn, sur un ensemble d'objets épars sur une table. Et ça devient évident, on reconnait la filiation artistique. Ce film est (aussi) de l’art.



Marie-Odile Demay
Productrice et conceptrice transmédia

  • Année 2008
  • Pays Québec
  • Durée 72
  • Producteur Amazone Film
  • Langue Français
  • Sous-titres Anglais
  • Résumé court Ayant hérité du studio de son père après son décès, la cinéaste revient sur le parcours de ce libre-penseur ayant marqué l’histoire de l’art.
  • Compositeur
  • Mention festival
  • Feministe equitable
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