Catherine Martin est née au Québec. Elle a fait des études collégiales en arts plastiques et poursuivi en beaux-arts à l’Université Concordia à Montréal où elle a étudié le cinéma et la photographie. Catherine Martin écrit et réalise tous ses films. Elle a produit de manière indépendante ses courts métrages dont Nuits d’Afrique (1990) et Les fins de semaine (1995). C’est en 1998 qu’elle signe un premier documentaire Les dames du 9e puis, en 2001, un premier long métrage de fiction, Mariages. Par la suite, elle a réalisé Océan (2002), Dans les villes (2006), L’esprit des lieux (2006), Trois temps après la mort d’Anna (2010) et Une jeune fille (2013). Ses films ont été présentés dans de nombreux festivals internationaux (Berlin, Toronto, Oberhausen, Nyon, Buenos Aires, Shanghaï, Karlovy Vary, etc.). Ils ont remporté des prix au Québec et au Canada comme à l’étranger. Trois d’entre eux ont été parmi les dix meilleurs films canadiens de l’année (TIFF’s Top Ten): Mariages, Océan et Trois temps après la mort d’Anna). En 2017, elle réalise _Certains de mes amis_ et, plus récemment, _Éloge de l'ombre_, essai documentaire empreint de poésie explorant en trois temps le profond sujet de l’ombre.
Sept portraits de personnes qui se révèlent dans leur travail ou leur vie quotidienne. Sept manières d’être présent au monde, à la vie. Des gens exceptionnels parce qu’ils sont comme tout le monde.
L’Océan est le seul train assurant le transport des voyageurs entre Montréal et Halifax. Le film est une sorte de « road-movie » sur des rails où est évoquée l’expérience intime du voyage. C’est une lente traversée du territoire au mouvement parfois interrompu. Arrêts momentanés dans des lieux pour ressentir avec ceux qui les habitent l’effet de la disparition des choses.
Sept portraits de personnes qui se révèlent dans leur travail ou leur vie quotidienne. Sept manières d’être présent au monde, à la vie. Des gens exceptionnels parce qu’ils sont comme tout le monde.
L’Océan est le seul train assurant le transport des voyageurs entre Montréal et Halifax. Le film est une sorte de « road-movie » sur des rails où est évoquée l’expérience intime du voyage. C’est une lente traversée du territoire au mouvement parfois interrompu. Arrêts momentanés dans des lieux pour ressentir avec ceux qui les habitent l’effet de la disparition des choses.