Deborah Stratman, née en 1967, est une artiste et cinéaste américaine basée à Chicago dont le travail louvoie entre l'expérimental et le documentaire. Elle travaille sur plusieurs supports, dont la sculpture, la photographie, l'installation, le dessin, la vidéo et l'audio, et s'intéresse aux paysages et aux systèmes. Son travail porte en grande partie sur les relations entre les environnements physiques et les luttes humaines pour le pouvoir et le contrôle et est diffusé partout à travers le monde. Stratman enseigne à la School of Art & Design de l'université de l'Illinois à Chicago. Une rétrospective de son œuvre en mi-carrière a été présentée au MoMA en 2013 : The Thing Unnamed.
L'évolution et l'extinction racontées à partir du point de vue minéral. La géo-biosphère est présentée comme un lieu de possibilité d'évolution, où les humains disparaissent mais où la vie perdure.
_The Illinois Parables_ est un portrait impressionniste de l’état de l’Illinois, parfois qualifié de version miniature des États-Unis, retraçant en 11 paraboles son histoire résolument hétéroclite, du 7e au 20e siècle.
L'évolution et l'extinction racontées à partir du point de vue minéral. La géo-biosphère est présentée comme un lieu de possibilité d'évolution, où les humains disparaissent mais où la vie perdure.
Un regard cru sur la façon dont la vie privée, la sécurité, le confort et la surveillance conditionnent notre environnement. Tourné entièrement de nuit, le film confronte la nature hermétique de la classe moyenne, disséquant la peur derrière le design contemporain des banlieues. En examinant des paysages évacués, le film révèle un vide particulier du 21e siècle ; un vide issu de notre foi colle...
L'évolution et l'extinction racontées à partir du point de vue minéral. La géo-biosphère est présentée comme un lieu de possibilité d'évolution, où les humains disparaissent mais où la vie perdure.
_The Illinois Parables_ est un portrait impressionniste de l’état de l’Illinois, parfois qualifié de version miniature des États-Unis, retraçant en 11 paraboles son histoire résolument hétéroclite, du 7e au 20e siècle.
L'évolution et l'extinction racontées à partir du point de vue minéral. La géo-biosphère est présentée comme un lieu de possibilité d'évolution, où les humains disparaissent mais où la vie perdure.
Un regard cru sur la façon dont la vie privée, la sécurité, le confort et la surveillance conditionnent notre environnement. Tourné entièrement de nuit, le film confronte la nature hermétique de la classe moyenne, disséquant la peur derrière le design contemporain des banlieues. En examinant des paysages évacués, le film révèle un vide particulier du 21e siècle ; un vide issu de notre foi colle...