Jean-Jacques Martinod est un cinéaste équatorien, artiste médiatique, programmateur de films, chercheur abyssal et « anarchiviste » clandestin. Son travail s’inscrit dans des modes étendus d’expérience noétique et intersubjective, se manifestant à travers une pratique continue du cinéma expérimental. Ses intérêts englobent les relations entre l’humain et le non-humain, la mythologie populaire, la mémoire anémique, les biomes supra-régionaux, les techno-logiques hydriques et la médiation poétique au sein des mondes vivants et de leurs cohabitants élargis. Les œuvres de Martinod ont été présentées dans plusieurs importants festivals, musées et cinémathèques à travers le monde. Il a obtenu une maîtrise en beaux-arts (MFA) à l’Université Concordia, où il a été membre du Centre for Expanded Poetics, du Global Emergent Media Lab et du groupe de recherche Fabrique-mondes. Il poursuit actuellement un doctorat au sein du programme Emergent Technology and Media Art Practices (ETMAP) à l’Université du Colorado, où il est également programmateur de la section Expanded Cinema du Mimesis Documentary Festival.
Au cœur des roches précambriennes du Nord canadien se trouve l’une des plus grandes réserves d’uranium de la planète. Une puissance qui a produit la plus grande énergie destructrice connue de l’homme, tout en se manifestant dans la majesté sauvage de cette région. Un carnet de voyage gothique qui invite au dialogue avec les fantômes du territoire : des villes minières abandonnées, englouties da...
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