Mariane Béliveau a complété des études en sociologie pour ensuite s’intéresser à la réalisation documentaire, afin d’exprimer une volonté de transformation radicale du politique par le biais du sensible. La co-réalisation de Récits gabriélois (2017) et la réalisation de Je la chante dans ma douche, habituellement (2018) marquent ses débuts en production indépendante. Que ce soit en tant qu’intervenante sociale, ou comme cinéaste, ses projets visent à questionner les rapports de force qui marginalisent certains groupes (travailleuses du sexe, toxicomanes, migrant.es, etc.).
C'est dangereux la mort, ça pourrait faire mal
Nouveauté !Trois trajectoires, dont la cadence est marquée par les gestes rituels du quotidien et les vicissitudes de l’existence, s’agencent autour d’une expérience commune : celle de l’injection comme mode de consommation.
C'est dangereux la mort, ça pourrait faire mal
Nouveauté !Trois trajectoires, dont la cadence est marquée par les gestes rituels du quotidien et les vicissitudes de l’existence, s’agencent autour d’une expérience commune : celle de l’injection comme mode de consommation.