Premières solitudes


Image de couverture Premières solitudes

Il s’agit d’un portrait d’un âge de la vie : 16/18 ans. À cet âge-là, si on a de la chance, on est au lycée. Ici, on est à Ivry et on discute entre les cours, même parfois pendant les cours. Assis dans le couloir, ou dehors sur un banc, ou sur le parapet avec vue sur la ville, les jeunes gens dialoguent à deux ou à trois. Ils découvrent leurs histoires respectives, celles dont ils héritent, racontent leur famille, leurs passions et aussi leur solitude. À cet âge-là, chacun voit le moment où il faudra quitter la famille, quand elle existe… ou la fuir encore plus quand elle est toute cassée. Être seul, c’est bien et c’est mal. On cherche, on en discute.

Multi-supports

Produit indisponible

Réalisateur

Claire Simon

Partager sur

Est-ce que la solitude fait réfléchir? Claire Simon provoque des dialogues entre de jeunes lycéens autour de quelques thèmes: la famille, l'amour, l'avenir. Mais le point de départ, c'est la solitude. Et cette expérience qui unissait au départ la réalisatrice sexagénaire et ces jeunes de 16 à 18 ans, elle a permis de faire émerger tout un monde qui n'existait alors pas dans l'espace de l'école. Les histoires familiales se dévoilent; les histoires d'exil, de déracinement, les fractures créées par l'émigration, la pauvreté et la parole qui ne passe pas entre les parents et leurs enfants. Une écoute émerge; la curiosité de se savoir si différents et pourtant de se reconnaître dans les sentiments évoqués. L'ignorance des blessures de l'autre et la surprise de la découvrir. Les murs du silence qui vacillent et dans les yeux du témoin, la reconnaissance de sa souffrance. Et la solitude de sa condition est ainsi rompue pour un moment: dans la rencontre permise par ce dialogue rare, permis -créé?- par la caméra

 

 

 

Naomie Décarie-Daigneault
Directrice artistique de Tënk

 

 

 

  • Année 2018
  • Pays France
  • Durée 98
  • Producteur Sophie Dulac Productions
  • Langue Français
  • Sous-titres Anglais
  • Résumé court Un portrait d’un âge de la vie, 16-18 ans. À cet âge-là, on cherche et on discute : de sa famille, de ses passions et de ses solitudes.
  • Programmateur Naomie Décarie-Daigneault|aucune;

Est-ce que la solitude fait réfléchir? Claire Simon provoque des dialogues entre de jeunes lycéens autour de quelques thèmes: la famille, l'amour, l'avenir. Mais le point de départ, c'est la solitude. Et cette expérience qui unissait au départ la réalisatrice sexagénaire et ces jeunes de 16 à 18 ans, elle a permis de faire émerger tout un monde qui n'existait alors pas dans l'espace de l'école. Les histoires familiales se dévoilent; les histoires d'exil, de déracinement, les fractures créées par l'émigration, la pauvreté et la parole qui ne passe pas entre les parents et leurs enfants. Une écoute émerge; la curiosité de se savoir si différents et pourtant de se reconnaître dans les sentiments évoqués. L'ignorance des blessures de l'autre et la surprise de la découvrir. Les murs du silence qui vacillent et dans les yeux du témoin, la reconnaissance de sa souffrance. Et la solitude de sa condition est ainsi rompue pour un moment: dans la rencontre permise par ce dialogue rare, permis -créé?- par la caméra

 

 

 

Naomie Décarie-Daigneault
Directrice artistique de Tënk

 

 

 

  • Année 2018
  • Pays France
  • Durée 98
  • Producteur Sophie Dulac Productions
  • Langue Français
  • Sous-titres Anglais
  • Résumé court Un portrait d’un âge de la vie, 16-18 ans. À cet âge-là, on cherche et on discute : de sa famille, de ses passions et de ses solitudes.
  • Programmateur Naomie Décarie-Daigneault|aucune;

Produit ajouté au panier

Mode :

Expire le :

loader waiting image
loader waiting image