Doublement passionné par le cinéma et la musique, je suis devenu ingénieur du son sur des tournages de films documentaires et de longs métrages. Une grande variété de collaborations dans ces deux domaines m'ont enrichi au fil des années, côtoyant créatrices et créateurs (Tran Anh Hung, Cédric Klapisch, Valeria Bruni-Tedeschi, Frank Cassenti, Philippe Beziat, Laetitia Carton…). Au fil de rencontres fugaces ou durables, mon intérêt pour les arts en général a été durablement marqué par des créateurs aussi passionnants et divers que Marguerite Duras, Umberto Eco, Roman Opałka, William Kentridge, Vittorio De Seta, Frederik Wiseman, Archie Shepp ou Gidon Kremer pour n'en citer que quelques uns. L'approfondissement de la connaissance du monde du documentaire, à partir de mes interventions à l'école documentaire de Lussas en 2004, m'a ouvert les oreilles sur un univers qui peut travailler, plus qu'en fiction, la notion de « temps proprement cinématographique », notion à laquelle je suis par-dessus tout sensible.
Douze personnes racontent puis interprètent le souvenir d’un rêve de travail. Ces âmes que l’on malmène décrivent, de façon poétique et politique, leur souffrance subjective au travail. Petit à petit, les rêveurs et leurs rêves font le portrait d’un monde dominé par le capitalisme néolibéral.
Douze personnes racontent puis interprètent le souvenir d’un rêve de travail. Ces âmes que l’on malmène décrivent, de façon poétique et politique, leur souffrance subjective au travail. Petit à petit, les rêveurs et leurs rêves font le portrait d’un monde dominé par le capitalisme néolibéral.