« Toi, spectateur qui regarde ». Par cette apostrophe, Alain Cavalier s'adresse à nous, au seuil du film qu'il a consacré à Georges de La Tour, lors de l'exposition qui lui fût dédiée en 1997 à Paris. Ce n'est d'ailleurs pas tant en historien de l'art qu'il dialogue avec le peintre du XVIIe siècle qu'en cinéaste amoureux d'ombre et de lumière, de visages et de gestes, de beauté et de mystère.
Réalisateur | Alain Cavalier |
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Rencontre magique du cinéaste de l’intime Alain Cavalier et du peintre de la lumière Georges de La Tour où le premier se livre à une interprétation libre de l’autre. Le regard subjectif d’Alain Cavalier sur la peinture et ses personnages oscille entre confidences et érudition avec une pointe d’humour et de poésie. Grande leçon d’histoire de l’art, ce film replace l’art pour ce qu’il est : un dialogue entre une œuvre et celui qui la regarde. Directement interpelé par le « tu » adopté et l’intime du commentaire, le spectateur est rappelé à sa propre humanité car, en synchronie avec de La Tour, Cavalier met en lumière la grande fresque de la vie humaine.
Marie-Odile Demay
Productrice et conceptrice transmédia
Rencontre magique du cinéaste de l’intime Alain Cavalier et du peintre de la lumière Georges de La Tour où le premier se livre à une interprétation libre de l’autre. Le regard subjectif d’Alain Cavalier sur la peinture et ses personnages oscille entre confidences et érudition avec une pointe d’humour et de poésie. Grande leçon d’histoire de l’art, ce film replace l’art pour ce qu’il est : un dialogue entre une œuvre et celui qui la regarde. Directement interpelé par le « tu » adopté et l’intime du commentaire, le spectateur est rappelé à sa propre humanité car, en synchronie avec de La Tour, Cavalier met en lumière la grande fresque de la vie humaine.
Marie-Odile Demay
Productrice et conceptrice transmédia
FR-Georges de La Tour