Le Carrousel international du film de Rimouski a pour mission de promouvoir l’essor de la jeunesse grâce à l’image en mouvement comme forme d’art, d’outil d’éducation et de moyen d’expression. Par ses activités et ses événements, il éveille les publics, encourage à l’ouverture sur le monde et stimule la création.
Après près de 40 ans d’existence, au sommet de sa notoriété et fort de son implantation dans le paysage cinématographique québécois, le festival du Carrousel international du film de Rimouski garde le souci de se renouveler afin de toujours se maintenir à l’avant-garde des tendances culturelles. Outre sa programmation et ses activités éducatives de qualité, le Carrousel a récemment décidé d’ajouter à ses activités un programme de résidence créative et d’ateliers, et le Volet Pro, destiné aux professionnel.le.s.
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Ce projet de médiation culturelle, réalisé par Spira et la Joujouthèque de la Basse-ville, vise la création de courts métrages avec des jeunes des quartiers centraux de la ville de Québec. Clarissa Rebouças et les enfants ont réfléchi sur les possibilités de faire le pont entre les personnes de différentes origines.
En quelques mois, le camp de réfugiés de Kutupalong est devenu le plus grand du monde. À l'abri des regards, 700 000 personnes de la minorité musulmane Rohingya ont fui le Myanmar en 2017 pour échapper au génocide et demander l'asile au Bangladesh. Prisonniers d'une crise humanitaire majeure mais peu médiatisée, Kalam, Mohammad, Montas et d'autres exilés veulent faire entendre leur voix. Entre ...
Ce projet de médiation culturelle, réalisé par Spira et la Joujouthèque de la Basse-ville, vise la création de courts métrages avec des jeunes des quartiers centraux de la ville de Québec. Clarissa Rebouças et les enfants ont réfléchi sur les possibilités de faire le pont entre les personnes de différentes origines.
En quelques mois, le camp de réfugiés de Kutupalong est devenu le plus grand du monde. À l'abri des regards, 700 000 personnes de la minorité musulmane Rohingya ont fui le Myanmar en 2017 pour échapper au génocide et demander l'asile au Bangladesh. Prisonniers d'une crise humanitaire majeure mais peu médiatisée, Kalam, Mohammad, Montas et d'autres exilés veulent faire entendre leur voix. Entre ...