*Là où se rejoignent les rivières* prend sa source à Montbéliard – ville dans laquelle grand nombre de rivières ont été détournées, enfouies, canalisées – et tente de faire apparaitre les liens invisibles reliant entre eux les habitant·e·s d’une ville en profonde mutation, où il semble devenir de plus en plus compliqué de communiquer. À travers la métaphore d’une incroyable et inexpliquée montée des rivières, cette création sonore convoque un paysage de voix d’habitant·e·s, dont les récits et les histoires intimes semblent remonter à la surface à mesure que la ville disparait sous l’eau.
Réalisateur | Antoine Richard |
Acteur | Daniel Capeille |
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Essai radiophonique à mi-chemin entre le documentaire et la fiction, bassin poétique et envoûtant, Là où se rejoignent les rivières imagine une ville française (Montbéliard) engloutie par une mystérieuse montée des eaux des multiples rivières qui la serpentent. Pendant que la ville disparaît, une constellation d’objets remontent à la surface. Du haut des collines qui bordent le grand lac, des voix tranquilles et mélancoliques - les habitant·e·s - flottent aussi dans l’air du temps, retraçant les récits intimes des objets qui ont façonné leur quotidien et qui, maintenant, flottent indolemment à la surface de l’eau.
À travers cette fascinante montée des eaux, métaphore d’une ville en profonde mutation, qu’est-ce qui relie entre eux les habitant·e·s? C’est à cette question que cette magnifique pièce sonore, dense et harmonieuse, tente de répondre.
Daniel Capeille
Preneur de son, concepteur sonore et monteur son
Essai radiophonique à mi-chemin entre le documentaire et la fiction, bassin poétique et envoûtant, Là où se rejoignent les rivières imagine une ville française (Montbéliard) engloutie par une mystérieuse montée des eaux des multiples rivières qui la serpentent. Pendant que la ville disparaît, une constellation d’objets remontent à la surface. Du haut des collines qui bordent le grand lac, des voix tranquilles et mélancoliques - les habitant·e·s - flottent aussi dans l’air du temps, retraçant les récits intimes des objets qui ont façonné leur quotidien et qui, maintenant, flottent indolemment à la surface de l’eau.
À travers cette fascinante montée des eaux, métaphore d’une ville en profonde mutation, qu’est-ce qui relie entre eux les habitant·e·s? C’est à cette question que cette magnifique pièce sonore, dense et harmonieuse, tente de répondre.
Daniel Capeille
Preneur de son, concepteur sonore et monteur son
Français