Une comédie ethnographique dépeignant des gens en train de se divertir dans leur _sommerhus_, sorte de résidence d'été populaire au Danemark. Parmi ces personnes : une adolescente qui fait du sur-place dans une piscine intérieure, deux vieilles sœurs déroutées par un système de télévision, des amis ivres qui se livrent à un jeu de fléchettes risqué, un homme en caleçon accro à la réalité virtuelle et une femme accompagnée d'un Shih Tzu nerveux qui raconte comment ils passent leur journée.
Réalisateur | Adam Paaske |
Acteur | Jason Burnham |
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« Le loisir, voilà la plus grande joie et la plus belle conquête de l’homme. »
Difficile de ne pas lire cette célèbre citation de l’écrivain français Rémy de Gourmont sans une pointe d’ironie après le visionnement de Leisure Time - A Summer’s Day, brillante ethnofiction imaginée par Adam Paaske. À travers le cours d’une journée, le cinéaste nous confronte aux aspects les moins glorieux qui encombrent le temps - dit « libre » - des vacances : les petits irritants, les flottements, la solitude, l’ennui, l’incommunicabilité… Tout ce qui n’est jamais révélé ou montré dans les récits que nous en faisons après coup. Mais ce film est aussi une ode aux petits riens, à la contemplation, à l’anti-productivité et aux temps morts. Car souvent, même en vacances, la tendance est à la performance.
Un regard à la fois tendre et caustique sur nos existences au repos qui amène à un questionnement existentiel profond : Comment utilisons-nous le temps qui nous est imparti?
Jason Burnham
Responsable éditorial de Tënk
« Le loisir, voilà la plus grande joie et la plus belle conquête de l’homme. »
Difficile de ne pas lire cette célèbre citation de l’écrivain français Rémy de Gourmont sans une pointe d’ironie après le visionnement de Leisure Time - A Summer’s Day, brillante ethnofiction imaginée par Adam Paaske. À travers le cours d’une journée, le cinéaste nous confronte aux aspects les moins glorieux qui encombrent le temps - dit « libre » - des vacances : les petits irritants, les flottements, la solitude, l’ennui, l’incommunicabilité… Tout ce qui n’est jamais révélé ou montré dans les récits que nous en faisons après coup. Mais ce film est aussi une ode aux petits riens, à la contemplation, à l’anti-productivité et aux temps morts. Car souvent, même en vacances, la tendance est à la performance.
Un regard à la fois tendre et caustique sur nos existences au repos qui amène à un questionnement existentiel profond : Comment utilisons-nous le temps qui nous est imparti?
Jason Burnham
Responsable éditorial de Tënk
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