Magie blanche


Image de couverture Magie blanche

_Magie blanche_ relate des moments dans la journée d’une jeune fille, le jour de ses 13 ans, un vendredi 13… Un film réalisé dans le cadre de la 2e édition du Festival Montréal Super 8 dont la règle très simple consiste à tourner une seule bobine de 50 pieds, sans montage à posteriori. Les effets spéciaux et la suite des plans ont donc été effectués _in camera_, lors du tournage.



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Claudie Lévesque

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Je me rappellerai toujours de ce tournage réalisé lors d’une journée d’été chez ma tante Rosanne à Aylmer en 2005. J’avais treize ans à l’époque. Fébrile d’être devant la caméra, je me suis tout de même prêtée au jeu grâce aux encouragements de ma mère, Claudie Lévesque, la réalisatrice. Je pense qu’inconsciemment c’est ce tournage qui m’a donné envie de faire des projets artistiques. Ma mère a su me transmettre le goût d’expérimenter, de jouer avec la forme tout en racontant des histoires. C’est aussi un peu ça, la magie du cinéma.

Ce film représente pour moi le désir d’une adolescente de croire en quelque chose; le hasard, le destin, le karma, la magie, afin de sortir du réel, de s’offrir un vaste horizon de possible. Avoir treize ans, c’est le besoin de se sentir libre, tout en ayant des ancrages. C’est le besoin d’un peu de magie pour venir briser le quotidien. Avec sa caméra Super 8, Claudie Lévesque capture, avec ludisme et profondeur, ce passage de l’innocence vers la raison dans un film intimiste et mystique. Magie blanche est un film sans montage, ni reprise, laissant une place importante à la spontanéité et à la beauté de l’imperfection.

 

Marion Lévesque-Albert
Cinéaste et comptable de production

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  • Magie blanche

    Magie blanche

    4 mn

    Langue : Multilingue
  • Année 2005
  • Pays Québec
  • Durée 4
  • Producteur Claudie Lévesque
  • Langue Sans dialogues
  • Résumé court Ce film relate des moments dans la journée d’une jeune fille, le jour de ses 13 ans, un vendredi 13…

Je me rappellerai toujours de ce tournage réalisé lors d’une journée d’été chez ma tante Rosanne à Aylmer en 2005. J’avais treize ans à l’époque. Fébrile d’être devant la caméra, je me suis tout de même prêtée au jeu grâce aux encouragements de ma mère, Claudie Lévesque, la réalisatrice. Je pense qu’inconsciemment c’est ce tournage qui m’a donné envie de faire des projets artistiques. Ma mère a su me transmettre le goût d’expérimenter, de jouer avec la forme tout en racontant des histoires. C’est aussi un peu ça, la magie du cinéma.

Ce film représente pour moi le désir d’une adolescente de croire en quelque chose; le hasard, le destin, le karma, la magie, afin de sortir du réel, de s’offrir un vaste horizon de possible. Avoir treize ans, c’est le besoin de se sentir libre, tout en ayant des ancrages. C’est le besoin d’un peu de magie pour venir briser le quotidien. Avec sa caméra Super 8, Claudie Lévesque capture, avec ludisme et profondeur, ce passage de l’innocence vers la raison dans un film intimiste et mystique. Magie blanche est un film sans montage, ni reprise, laissant une place importante à la spontanéité et à la beauté de l’imperfection.

 

Marion Lévesque-Albert
Cinéaste et comptable de production


  • Magie blanche

    Magie blanche


    Durée : 4 minutes
    Langue : Multilingue
    4 mn
  • Année 2005
  • Pays Québec
  • Durée 4
  • Producteur Claudie Lévesque
  • Langue Sans dialogues
  • Résumé court Ce film relate des moments dans la journée d’une jeune fille, le jour de ses 13 ans, un vendredi 13…

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