Memorie di Alba


Image de couverture Memorie di Alba

Alba se rappelle comment elle est tombée amoureuse de Pierino, un ami de son frère Tullio, au début des années 50 en Italie.

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Andrea MartignoniMaria Steinmetz

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Hommage à la tendresse des premiers amours, *Memorie di Alba* nous rappelle la puissance de l’animation lorsqu’il s’agit de produire une image qui se substitue à l’oubli. Le court métrage évoque d’ailleurs une tendance qui se confirme dans les sélections d’un festival comme les Sommets du cinéma d’animation : des films sur la transmission intergénérationnelle où les mémoires familiales (parfois douloureuses et empreintes de fractures temporelles, géographiques, personnelles, parfois heureuses comme celles d’Alba) sont ravivées à travers l’animation. Je pense à *In the Shadow of the Pines* (2020) d’Anne Koizumi, *We Have one Heart* (2020) de Katarzyna Warzecha ou encore *Saigon sur Marne* (2019) de Aude Ha Leplège. Ici, en recréant les scènes d’une rencontre, en fouillant dans le peu d’archives photographiques qu’il reste, les deux réalisateurs se raccrochent à la voix d’Alba et au marc de café qui accompagne ses paroles. La manivelle du moulin à café tourne, le temps passe, et les souvenirs d’Alba, dont les tremblements de la voix trahissent l’âge, prennent vie sous nos yeux.



Doriane Biot
Consultante à la programmation des Sommets du cinéma d’animation

  • Année 2019
  • Pays Italie, Allemagne
  • Durée 6
  • Producteur Andrea Martignoni, Maria Steinmetz
  • Langue Italien
  • Sous-titres Français, Anglais
  • Résumé court Alba se rappelle comment elle est tombée amoureuse de Pierino, un ami de son frère Tullio, au début des années 50 en Italie.
  • Compositeur
  • Mention festival
  • Programmateur Doriane Biot|Consultante à la programmation des Sommets du cinéma d’animation ;
  • Feministe equitable

Hommage à la tendresse des premiers amours, *Memorie di Alba* nous rappelle la puissance de l’animation lorsqu’il s’agit de produire une image qui se substitue à l’oubli. Le court métrage évoque d’ailleurs une tendance qui se confirme dans les sélections d’un festival comme les Sommets du cinéma d’animation : des films sur la transmission intergénérationnelle où les mémoires familiales (parfois douloureuses et empreintes de fractures temporelles, géographiques, personnelles, parfois heureuses comme celles d’Alba) sont ravivées à travers l’animation. Je pense à *In the Shadow of the Pines* (2020) d’Anne Koizumi, *We Have one Heart* (2020) de Katarzyna Warzecha ou encore *Saigon sur Marne* (2019) de Aude Ha Leplège. Ici, en recréant les scènes d’une rencontre, en fouillant dans le peu d’archives photographiques qu’il reste, les deux réalisateurs se raccrochent à la voix d’Alba et au marc de café qui accompagne ses paroles. La manivelle du moulin à café tourne, le temps passe, et les souvenirs d’Alba, dont les tremblements de la voix trahissent l’âge, prennent vie sous nos yeux.



Doriane Biot
Consultante à la programmation des Sommets du cinéma d’animation

  • Année 2019
  • Pays Italie, Allemagne
  • Durée 6
  • Producteur Andrea Martignoni, Maria Steinmetz
  • Langue Italien
  • Sous-titres Français, Anglais
  • Résumé court Alba se rappelle comment elle est tombée amoureuse de Pierino, un ami de son frère Tullio, au début des années 50 en Italie.
  • Compositeur
  • Mention festival
  • Programmateur Doriane Biot|Consultante à la programmation des Sommets du cinéma d’animation ;
  • Feministe equitable

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