Ce documentaire sans paroles nous livre les étapes de la construction d'un canot d'écorce à la manière atikamekw. Un art de plus en plus oublié, même chez les Autochtones qui l'inventèrent pourtant. César Newashish, Atikamekw de 67 ans habitant la réserve de Manawan aux confins de la Haute-Mauricie, construit un canot d'écorce à la manière d'antan, n'utilisant que l'écorce du bouleau, les planches du cèdre, les racines de sapin et la sève gommante.
Réalisateur | Bernard Gosselin |
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Tout au long de sa fructueuse carrière de caméraman et de réalisateur, Bernard Gosselin s’est beaucoup intéressé aux métiers et aux façons de vivre et de faire en lien avec les traditions. Ici, il se tourne vers le savoir-faire autochtone en suivant pas à pas (on aurait envie de dire image par image) la confection d’un canot d’écorce. Avec la seule force de l’image (le film est dénué de toute narration), le cinéaste met en valeur le génie de César Newashish, un Atikamekw de Manawan, qui élève la fabrication de ce moyen de transport traditionnel au rang d’art.
Marc St-Pierre
Conservateur de collection, ONF
Tout au long de sa fructueuse carrière de caméraman et de réalisateur, Bernard Gosselin s’est beaucoup intéressé aux métiers et aux façons de vivre et de faire en lien avec les traditions. Ici, il se tourne vers le savoir-faire autochtone en suivant pas à pas (on aurait envie de dire image par image) la confection d’un canot d’écorce. Avec la seule force de l’image (le film est dénué de toute narration), le cinéaste met en valeur le génie de César Newashish, un Atikamekw de Manawan, qui élève la fabrication de ce moyen de transport traditionnel au rang d’art.
Marc St-Pierre
Conservateur de collection, ONF
FR - César et son canot d'écorce
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