Contraint·e·s de se protéger et de fuir les expositions aux ondes et aux champs électromagnétiques qui nous entourent, François, Suzanne et Lorraine nous partagent les tourments qu’impose l‘électrohypersensibilité. Grâce à une approche intimiste, _Le spectre des ondes_ met en lumière l’humain derrière les tabous qui accompagnent ce syndrome d’intolérance souvent incompris.
| Réalisateur | Mikaël Huot |
| Acteur | Anouk Deschênes |
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En toute transparence, j’ai proposé Le spectre des ondes, mais je suis bien mal placée pour vous en décrire les qualités ou les défauts cinématographiques, ayant endossé une multitude de rôles dans sa création. Je peux par contre vous proposer d’adopter une posture particulière avant votre visionnement.
Ce documentaire ne se veut pas une analyse scientifique. Il cherche à donner une voix à ces personnes qui souffrent et qui cherchent désespérément des solutions afin de se sentir mieux. Que vous soyez sceptiques, sympathisant·e·s ou affecté·e·s, il est important de se rappeler que la souffrance des personnages – autant physique que physiologique et psychologique – est bien réelle. Pour toutes les personnes vivant avec n’importe quelle forme de mal chronique – et je parle d’expérience – se sentir épauler par un cercle social qui est apte à se mettre dans une position d’écoute est essentiel pour sa survie à long terme. Lorsque j’ai rencontré François et Suzanne pour la première fois, j’ai tout de suite su que j’avais devant moi des êtres humains d’une grande sensibilité et résilience, prêt·e·s, malgré tout, à partager leur vécu pour aider, tout simplement.
Le mot-clé derrière ce film est l’empathie. Baissons notre garde quelques instants et écoutons. C’est souvent dans ces moments qu’une magie se tisse et se noue au rythme des liens qui se forment entre nous.
Ce film, sur lequel plusieurs artisan·e·s ont beaucoup donné du leur, est sorti en pleine pandémie. Vous vous doutez de la suite… Il n’existe pas de meilleure plateforme que Tënk pour lui donner un nouveau souffle. C’est donc avec humilité que je vous le partage ici. Un énorme merci à tous les artisan·e·s et les gens qui ont aidé de près ou de loin à sa mise en oeuvre.
Anouk Deschênes
Monteuse et abonnée de Tënk

En toute transparence, j’ai proposé Le spectre des ondes, mais je suis bien mal placée pour vous en décrire les qualités ou les défauts cinématographiques, ayant endossé une multitude de rôles dans sa création. Je peux par contre vous proposer d’adopter une posture particulière avant votre visionnement.
Ce documentaire ne se veut pas une analyse scientifique. Il cherche à donner une voix à ces personnes qui souffrent et qui cherchent désespérément des solutions afin de se sentir mieux. Que vous soyez sceptiques, sympathisant·e·s ou affecté·e·s, il est important de se rappeler que la souffrance des personnages – autant physique que physiologique et psychologique – est bien réelle. Pour toutes les personnes vivant avec n’importe quelle forme de mal chronique – et je parle d’expérience – se sentir épauler par un cercle social qui est apte à se mettre dans une position d’écoute est essentiel pour sa survie à long terme. Lorsque j’ai rencontré François et Suzanne pour la première fois, j’ai tout de suite su que j’avais devant moi des êtres humains d’une grande sensibilité et résilience, prêt·e·s, malgré tout, à partager leur vécu pour aider, tout simplement.
Le mot-clé derrière ce film est l’empathie. Baissons notre garde quelques instants et écoutons. C’est souvent dans ces moments qu’une magie se tisse et se noue au rythme des liens qui se forment entre nous.
Ce film, sur lequel plusieurs artisan·e·s ont beaucoup donné du leur, est sorti en pleine pandémie. Vous vous doutez de la suite… Il n’existe pas de meilleure plateforme que Tënk pour lui donner un nouveau souffle. C’est donc avec humilité que je vous le partage ici. Un énorme merci à tous les artisan·e·s et les gens qui ont aidé de près ou de loin à sa mise en oeuvre.
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Monteuse et abonnée de Tënk
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