Guy Chiche, dit Guy Gilles, né à Alger le 25 août 1938 et mort à Paris le 3 février 1996, est un réalisateur et scénariste français. Il réalise un premier court métrage à 1958 grâce à un héritage maternel, Soleil éteint. Après des études en beaux-arts, il part pour Paris, où il travaille comme assistant auprès de François Reichenbach en 1964. Son premier long métrage, L'amour à la mer (1964), dans lequel Juliette Gréco, Jean-Claude Brialy et Jean-Pierre Léaud font de brèves apparitions, sort sans distributeur en 1965. Il travaille ensuite pour la télévision et tourne des « ciné-reportages ». Au cours de sa carrière, il réalise plusieurs longs métrages qui, malgré un bon accueil critique, sont boudés par le public. Nommons entre autres Au pan coupé (1968), Absences répétées (1972), Le jardin qui bascule (1975). Il réalise en 1975 un documentaire sur Jean Genet, Saint, poète et martyr dont la diffusion lors d'un festival de films gais est perturbée par un groupe d'extrême droite qui frappe le réalisateur. Ses derniers films à sortir en salles sont Le crime d'amour (1982), avec Richard Berry et Jacques Penot, et Nuit docile (1987). Atteint du sida, rencontrant des difficultés avec la production, il peine à achever Néfertiti, la fille du soleil en 1994. Il décède en 1996.
Françoise Sagan, Clara Malraux, Henriette Jelinek et Françoise Mallet-Joris donnent leur vision de la littérature et évoquent les raisons qui les poussent à écrire.
Guy Gilles filme la vie de jeunes artistes âgés de 12 à 18 ans, et membres d'un cirque installé pendant deux semaines à la porte Maillot, à Paris. Entre répétitions en plein air et numéros d’équilibristes, le cinéaste capte la magie fragile de l’adolescence et l’élan de liberté que porte le rêve du spectacle.
Dans une vieille ferme abandonnée en Ardèche, un jeune homme retrouve une cinquantaine de lettres ainsi qu’un cahier oublié. De retour à Paris, il découvre qu’il s’agit d’une correspondance amoureuse entre une jeune paysanne et un capitaine pendant la Première Guerre mondiale. Le film recrée cette histoire d’amour.
Sur les images d'un cinéma désaffecté et promis à la démolition, la voix de Guy Gilles évoque l'âme de ces salles de quartier, lieux magiques qui lui ont donné une certaine idée de la liberté, de l'évasion et du rêve. Un hommage intime et poétique au septième art et à ses temples menacés ou disparus.
Guy Gilles promène sa caméra à travers Paris, par un jour d'hiver. Il suit les passant·e·s, les enfants jouant avec la neige, le regard des gens derrière leur fenêtre, et se joue du brouillard et des arbres dénudés par l'hiver.
Sur un mode poétique, un jeu autour des gestes quotidiens. Chorégraphie spontanée des mains, bureaux où l'on découpe les journaux, chambres où l'on peint, où l'on se déshabille. Une main passée dans les cheveux, un poignet virevoltant sur un archer, une recherche obsédée.
Françoise Sagan, Clara Malraux, Henriette Jelinek et Françoise Mallet-Joris donnent leur vision de la littérature et évoquent les raisons qui les poussent à écrire.
Guy Gilles filme la vie de jeunes artistes âgés de 12 à 18 ans, et membres d'un cirque installé pendant deux semaines à la porte Maillot, à Paris. Entre répétitions en plein air et numéros d’équilibristes, le cinéaste capte la magie fragile de l’adolescence et l’élan de liberté que porte le rêve du spectacle.
Dans une vieille ferme abandonnée en Ardèche, un jeune homme retrouve une cinquantaine de lettres ainsi qu’un cahier oublié. De retour à Paris, il découvre qu’il s’agit d’une correspondance amoureuse entre une jeune paysanne et un capitaine pendant la Première Guerre mondiale. Le film recrée cette histoire d’amour.
Sur les images d'un cinéma désaffecté et promis à la démolition, la voix de Guy Gilles évoque l'âme de ces salles de quartier, lieux magiques qui lui ont donné une certaine idée de la liberté, de l'évasion et du rêve. Un hommage intime et poétique au septième art et à ses temples menacés ou disparus.
Guy Gilles promène sa caméra à travers Paris, par un jour d'hiver. Il suit les passant·e·s, les enfants jouant avec la neige, le regard des gens derrière leur fenêtre, et se joue du brouillard et des arbres dénudés par l'hiver.
Sur un mode poétique, un jeu autour des gestes quotidiens. Chorégraphie spontanée des mains, bureaux où l'on découpe les journaux, chambres où l'on peint, où l'on se déshabille. Une main passée dans les cheveux, un poignet virevoltant sur un archer, une recherche obsédée.