Laetitia Carton est née en 1974 à Vichy. Après des études aux Beaux-Arts de Clermont-Ferrand, elle expose son travail dans des lieux d’art contemporain. Elle fait ensuite un Post-diplôme à l’École d’art de Lyon. C’est là qu’elle découvre le documentaire de création. Elle décide alors de prendre un autre chemin et faire des études de réalisation documentaire à Lussas. Son film de fin d’études, D’un chagrin j’ai fait un repos (2005), a été sélectionné et primé dans plusieurs festivals à travers le monde. En 2009, elle réalise un premier long métrage documentaire pour la télévision, La pieuvre, sur la maladie de Huntington. Elle a réalisé plusieurs courts métrages comme Grands-mères (2004) ou La visite (2015), mais aussi des longs métrages tels que Edmond, un portrait de Baudoin (2014), J'avancerai vers toi avec les yeux d'un Sourd (2015) et Le Grand Bal (2018).
J'avancerai vers toi avec les yeux d'un Sourd
Durée : 3h34Ce film est adressé à mon ami Vincent, mort il y a dix ans. Vincent était Sourd. Il m’avait initiée à la langue des signes. Je lui donne aujourd'hui des nouvelles de son pays, ce monde inconnu et fascinant, celui d'un peuple qui lutte pour défendre sa culture et son identité.
C'est l'histoire d'un bal. D'un grand bal. Chaque été, plus de deux mille personnes affluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent encore et encore, perdent la notion du temps, bravent leurs fatigues et leurs corps. Ça tourne, ça rit, ça virevolte, ça pleure, ça chante. Et la vie pulse.
J'avancerai vers toi avec les yeux d'un Sourd
Durée : 3h34Ce film est adressé à mon ami Vincent, mort il y a dix ans. Vincent était Sourd. Il m’avait initiée à la langue des signes. Je lui donne aujourd'hui des nouvelles de son pays, ce monde inconnu et fascinant, celui d'un peuple qui lutte pour défendre sa culture et son identité.
C'est l'histoire d'un bal. D'un grand bal. Chaque été, plus de deux mille personnes affluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent encore et encore, perdent la notion du temps, bravent leurs fatigues et leurs corps. Ça tourne, ça rit, ça virevolte, ça pleure, ça chante. Et la vie pulse.