Lisa Sfriso est une cinéaste indépendante québécoise qui jongle entre les genres selon les sujets abordés, mais le réel demeure toujours sa principale source d’inspiration. De 2000 à 2006, elle a été activement impliquée au sein du Centre d’artistes Vidéo Femmes à Québec, avec qui elle a réalisé plusieurs documentaires dont Un toit, un droit, un film co-réalisé avec une bande de complices de Vidéo Femmes, en pleine crise du logement. Documentariste engagée, elle aborde dans ses films des enjeux sociaux et des causes qui lui tiennent à cœur. En fiction, elle s’intéresse à la résilience, à la mémoire individuelle et collective. Son court métrage de fiction Les adieux s’est démarqué en 2006 en remportant le Prix Silence, on court du meilleur court métrage canadien et le Prix du public au Festival Cinémental, de même que le Prix du public Enfance au Festival du film court francophone de Vaulx-en-Velin, en France. Son premier long métrage documentaire, _À contre-courant, _sur le parcours de l’implication citoyenne à l’engagement politique de Françoise David et ses proches collaborateur·trice·s, s’est pour sa part vu décerner le Prix du public Télé-Québec pour le meilleur documentaire lors des Rendez-vous du cinéma québécois en 2013. Depuis, elle partage son temps entre la création d’œuvres documentaires et de fiction et la transmission de sa passion pour le cinéma par l’enseignement, la programmation et la médiation culturelle.
Est-il normal qu’une famille se retrouve à la rue le 1er juillet? Que des immigrant·e·s se fassent expulser de leurs appartements? Caméra au poing, le Collectif (...) Parenthèses est allé à la rencontre de locataires et de propriétaires, tant au Québec qu’en Europe, pour répondre à cette question vitale : le logement ne devrait-il pas être un droit pour tout·e citoyen·ne?
Est-il normal qu’une famille se retrouve à la rue le 1er juillet? Que des immigrant·e·s se fassent expulser de leurs appartements? Caméra au poing, le Collectif (...) Parenthèses est allé à la rencontre de locataires et de propriétaires, tant au Québec qu’en Europe, pour répondre à cette question vitale : le logement ne devrait-il pas être un droit pour tout·e citoyen·ne?