Durant sa thèse d'anthropologie urbaine, Lo Thivolle découvre les films de Jean Rouch et Fernand Deligny, l'amènant à s'intéresser au cinéma. Sa rencontre avec Caroline Beuret l'ouvre à l'univers du son et de l'image. Puis, ce fut son travail d'assistant-réalisateur qui lui donnera le désir de « dé-réaliser » des images et des sons. Il mène de nombreux projets de fabrication cinématographique avec Caroline Beuret, en lien avec la ville de Marseille et ses extensions méditerranéennes. Depuis peu, Ouhaib Mortada les a rejoint. Leur travail avec l'association Numéro Zéro les amène à voir comment le cinéma peut faire le lien entre des univers et des personnes qui seraient considéré.e.s comme étranges et étrangères.
Ce pourrait être l’histoire d’une rencontre ratée. Ou bien celle de cinéastes qui n’arrivent pas à trouver des gens pour leur film. Ou un méta-film sur les problématiques de rémunération au cinéma et particulièrement dans le documentaire. Ou encore un film sur l’argent, sur la parole comme capital, comme bien que l’on échange comme n’importe quel autre bien; sur la rencontre entre deux milieux ...
Ce pourrait être l’histoire d’une rencontre ratée. Ou bien celle de cinéastes qui n’arrivent pas à trouver des gens pour leur film. Ou un méta-film sur les problématiques de rémunération au cinéma et particulièrement dans le documentaire. Ou encore un film sur l’argent, sur la parole comme capital, comme bien que l’on échange comme n’importe quel autre bien; sur la rencontre entre deux milieux ...