En 1980, la pianiste de jazz américaine Kazzrie Jaxen visionne _De la vie des marionnettes_ d'Ingmar Bergman. Par la suite, elle lui écrit une lettre de seize pages pour expliquer comment le film avait changé sa vie. _Dear Director_ est basé sur cette correspondance réelle, que le réalisateur suédois Marcus Lindeen découvre alors qu'il faisait des recherches sur des scénarios inachevés de Bergman pour une pièce de théâtre.
Réalisateur | Marcus Lindeen |
Acteur | L'équipe éditoriale de Tënk |
Partager sur |
Le court métrage Dear Director de Marcus Lindeen se présente comme une œuvre visuelle inspirée par une lettre de fan adressée à Ingmar Bergman. Il y a 35 ans, Kazzrie Jaxen, pianiste jazz, écrivait une longue lettre témoignant de son amour pour le film De la vie des marionnettes. Le film s’ouvre sur des corps, une femme au piano et une salle de cinéma baignés dans une lumière rouge. Pendant la projection du film de Bergman, Kazzrie Jaxen, jouant son propre rôle, se sent capturée à l’intérieur du cinéma. Cette impression est similaire à l’image d’un fœtus dans le ventre de sa mère. Cette pensée l’amène à réaliser qu’elle n’est pas seule dans son corps. En tant que survivante de sa jumelle, Kazzrie porte en elle une partie de sa sœur sous sa peau. Sa voix narre et parfois chante, accompagnant les images tout au long du film. La beauté et l’honnêteté des discours créent une empreinte profonde qui incite le spectateur à la réflexion.
Narges Qurban
Adjointe aux communications et au marketing
Usine C
Le court métrage Dear Director de Marcus Lindeen se présente comme une œuvre visuelle inspirée par une lettre de fan adressée à Ingmar Bergman. Il y a 35 ans, Kazzrie Jaxen, pianiste jazz, écrivait une longue lettre témoignant de son amour pour le film De la vie des marionnettes. Le film s’ouvre sur des corps, une femme au piano et une salle de cinéma baignés dans une lumière rouge. Pendant la projection du film de Bergman, Kazzrie Jaxen, jouant son propre rôle, se sent capturée à l’intérieur du cinéma. Cette impression est similaire à l’image d’un fœtus dans le ventre de sa mère. Cette pensée l’amène à réaliser qu’elle n’est pas seule dans son corps. En tant que survivante de sa jumelle, Kazzrie porte en elle une partie de sa sœur sous sa peau. Sa voix narre et parfois chante, accompagnant les images tout au long du film. La beauté et l’honnêteté des discours créent une empreinte profonde qui incite le spectateur à la réflexion.
Narges Qurban
Adjointe aux communications et au marketing
Usine C
English