Sarah Baril Gaudet est une réalisatrice et directrice de la photographie originaire de l'Abitibi-Témiscamingue, maintenant basée à Montréal. Elle a complété un baccalauréat en cinéma à l'Université du Québec à Montréal où elle a obtenu la bourse du Meilleur espoir documentaire. Son court métrage Là où je vis s'est démarqué dans plus d'une vingtaine de festivals internationaux. En 2020, elle a réalisé son premier long métrage Passage, présenté aux RIDM et nommé au Gala Québec Cinéma dans la catégorie Meilleure direction photo en documentaire. Elle réalise en 2022 le court métrage documentaire Les bienveillants, présenté à Hot Docs. Ces films ont voyagé dans de nombreux festivals, en plus de remporter plusieurs prix. En 2023, son documentaire Celles qui luttent est présenté aux RIDM.
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_Là où je vis_ est une histoire faite de solitude et de vent, racontée avec la poésie de la toundra austère du Nunavik et la beauté des mots de la jeune Martha.
À la veille d'un inévitable exil vers les centres urbains, la jeunesse du Témiscamingue est déchirée entre la quête d'un avenir meilleur et l'attachement à son territoire.
_Les bienveillants_ s’immerge dans l’univers du centre d’écoute téléphonique Tel-Aide Montréal en suivant un groupe de futur.e.s bénévoles qui apprennent l’art de l’écoute empathique. À travers un traitement intimiste, le film cherche à rappeler l’importance de la présence d’oreilles vigilantes dans une société où la solitude est omniprésente.
_Là où je vis_ est une histoire faite de solitude et de vent, racontée avec la poésie de la toundra austère du Nunavik et la beauté des mots de la jeune Martha.
À la veille d'un inévitable exil vers les centres urbains, la jeunesse du Témiscamingue est déchirée entre la quête d'un avenir meilleur et l'attachement à son territoire.
_Les bienveillants_ s’immerge dans l’univers du centre d’écoute téléphonique Tel-Aide Montréal en suivant un groupe de futur.e.s bénévoles qui apprennent l’art de l’écoute empathique. À travers un traitement intimiste, le film cherche à rappeler l’importance de la présence d’oreilles vigilantes dans une société où la solitude est omniprésente.