Silence radio


Image de couverture Silence radio

Portrait tendre et décalé d’une région rurale et de ses habitants à travers celui d’une radio locale qui leur apporte une énergie nouvelle, un soleil nostalgique. Ou comment une radio picarde gérée par des bénévoles crée un fort et indispensable lien social. Tous retrouvent sur cette radio les chansons qui ont marqué leur vie. À travers elle, ils se rencontrent, rient, passent la musique qu’ils aiment, chantent et dansent.


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Valéry Rosier

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Le belge Valéry Rosier se permet ici de brouiller la frontière entre le réel et la fiction. Les personnages sont bien réels, mais ils se mettent parfois en scène en complicité avec le cinéaste. Admettant les règles du jeu, nous ne pouvons nous empêcher de sourire devant la maladresse des apprentis animateurs de la radio associative et les décors surchargés de motifs floraux des maisons, à faire frémir les amateurs de design minimaliste si en vogue aujourd’hui. Se dégage du film une tendresse envers la solitude ressentie par plusieurs Picardiens, mise en valeur par les cadrages presque photographiques. S’ils sont seuls, ces femmes et hommes sont tous unis par leur poste de radio et leur attachement aux chansons de Claude François ou Jacques Brel. On voudrait danser avec eux.



Christine Chevarie
Cinéaste

  • Année 2012
  • Pays France, Belgique
  • Durée 52
  • Producteur Need Productions, Perspective Films
  • Langue Français
  • Sous-titres
  • Résumé court Le portrait tendre et décalé d'une région rurale et de ses habitants à travers sa radio locale.
  • Compositeur
  • Mention festival
  • Feministe equitable
  • Image revue
  • Description revue
  • Lien revue
  • Avertissement
  • Texte bouton revue

Le belge Valéry Rosier se permet ici de brouiller la frontière entre le réel et la fiction. Les personnages sont bien réels, mais ils se mettent parfois en scène en complicité avec le cinéaste. Admettant les règles du jeu, nous ne pouvons nous empêcher de sourire devant la maladresse des apprentis animateurs de la radio associative et les décors surchargés de motifs floraux des maisons, à faire frémir les amateurs de design minimaliste si en vogue aujourd’hui. Se dégage du film une tendresse envers la solitude ressentie par plusieurs Picardiens, mise en valeur par les cadrages presque photographiques. S’ils sont seuls, ces femmes et hommes sont tous unis par leur poste de radio et leur attachement aux chansons de Claude François ou Jacques Brel. On voudrait danser avec eux.



Christine Chevarie
Cinéaste

  • Année 2012
  • Pays France, Belgique
  • Durée 52
  • Producteur Need Productions, Perspective Films
  • Langue Français
  • Sous-titres
  • Résumé court Le portrait tendre et décalé d'une région rurale et de ses habitants à travers sa radio locale.
  • Compositeur
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